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Comment vos collègues de bureau utilisent-ils l’IA générative sans vous le dire ? 

Tiens, c’est étrange, Jean-Pierre ne fait plus de fautes d’orthographe dans ses e-mails… Et Cristina, ne trouves-tu pas que ses présentations PowerPoint sont vraiment bien illustrées ?Gain de temps, pertinence des propos, automatisation des tâches répétitives, correction de documents… Si 79 % des salariés n’ont jamais reçu de formation quant à l’utilisation de l’IA, ils sont 65 % à l’utiliser dans le cadre de leur travail en “mode amateur”.L’utilisation de l’IA n’est pas encore encadrée ni formalisée dans le monde professionnel, mais ses atouts sont indéniables, et cette technologie ouvre un champ des possibles à ceux qui sauront l’apprivoiser rapidement. Nous ne sommes probablement qu’à l’aube d’une nouvelle révolution des usages et d’une potentielle vague d’innovation disruptive dont Jean-Pierre, Cristina et pourquoi pas vous, pourriez, du bout de votre souris, être demain les initiateurs !« Une véritable vague d’IA va déferler sur nos sociétés dans les années à venir. Le sujet est déjà à l’agenda de 90 % des conseils d’administration. Nous avons donc dépassé le stade de la surprise et du déni d’impact » Benoit Reillier, directeur général de Launchworks & CoVoici les tâches pour lesquelles l’IA générative est instinctivement utilisée au bureau :La correction automatique d’e-mails et d’autres documentsL'IA générative peut être utilisée pour la correction automatique de documents, par exemple, une recommandation à remettre à votre n+1 ou tout simplement un e-mail important pour lequel toute coquille ou faute de syntaxe serait inexcusable.👍 C’est donc grâce à ChatGPT que Jean-Pierre, responsable du service après-vente, a significativement et rapidement amélioré son niveau de grammaire et sa syntaxe ces derniers mois, pour le plus grand plaisir de ses clients et de son boss.La rédaction de contenus originauxC’est de loin la tâche que vos collègues, et sans doute vous aussi, confiez à ChatGPT. Que ce soit pour élaborer des rapports détaillés, rédiger des articles à partir d’une idée ou simplement composer des e-mails en se basant sur un message reçu et quelques indications, ChatGPT répond présent.😡 Petite mise en garde concernant le style d’écriture : la machine n’est pas encore au top. Alors, relisez, modifiez et ajoutez une touche d’intelligence humaine dans vos écrits et rapports pour vous assurer de leur pertinence.“L'augmentation de l'utilisation de l'IA générative découle principalement de la reconnaissance de sa contribution significative à l'accroissement de la productivité des employés. Ces derniers sont de plus en plus conscients de son impact, avec 71 % affirmant qu'elle améliore leur productivité au travail et 58 % estimant que leur niveau d'engagement professionnel s'en trouve renforcé”. Enquête Salesforce 2022La création de visuels uniques et impactantsAu sein du département marketing, Cristina a bien compris que l'époque des banques d'images en ligne touchait à sa fin. C'est coûteux, et au final, tout le monde utilise les mêmes images pour illustrer son site web ou ses publications sur LinkedIn.Mais vous savez, il y a cette photo prise dans un open space avec cinq jeunes collaborateurs qui sourient comme s'ils venaient d'obtenir une augmentation de 30%, chacun tendant un bras au-dessus de la belle table de réunion, superposant leurs mains pour former une étoile en signe de cohésion.Sans oublier celle de la jeune fille métissée au sourire radieux et à l'abondante chevelure frisée, probablement le symbole d'une entreprise inclusive.Cristina préfère désormais opter pour des visuels authentiques et originaux, créés sur mesure grâce à des solutions innovantes comme DALL-E d'OpenAI ou Midjourney. Fini les clichés stéréotypés, place à la créativité et à la personnalisation pour un impact visuel unique.La semaine dernière, elle nous a même bluffés en réalisant un deepfake du CEO en train de faire du vélo... mais c'était juste pour faire rire les collègues à l'heure du déjeuner.La personnalisation des messages en fonction de l’interlocuteurThierry continue de le faire manuellement avec ChatGPT, mais bientôt tout sera sans doute automatisé : afin de répondre de la manière la plus pertinente possible à ses clients, il copie/colle l'historique de ses échanges d'e-mails avec l’un d’entre eux et demande à l'IA de générer des réponses adaptées, tant sur le fond que sur la forme, c'est-à-dire en termes de style et de ton.Certains outils d'IA vont même jusqu'à automatiser certaines réponses aux e-mails en analysant le contenu des messages pour proposer à l’utilisateur de choisir entre différentes réponses pré-rédigées.La traduction instantanée de vos documentsEmilie n'a jamais brillé dans l'apprentissage des langues étrangères. À l'école, l'anglais était vraiment son point faible. Quelques séjours en Angleterre pendant les vacances d'été et quelques boyfriends londoniens lui ont permis d'atteindre un niveau acceptable pour la communication orale.Cependant, le défi persistait longtemps du côté écrit. Aujourd'hui, grâce à l'IA, elle peut non seulement traduire efficacement avec des outils tels que Deepl, mais aussi composer des textes et recevoir des suggestions de formulations.C'est une révolution pour quelqu'un qui, comme elle, avait du mal avec les aspects écrits des langues étrangères. L'IA a ouvert de nouvelles possibilités, facilitant non seulement la traduction, mais aussi la création de contenus dans des langues étrangères.La génération de code pour les profils techGuillaume, lead developer au sein du service IT de votre entreprise, s'est récemment plongé dans l'univers de l'IA pendant ses moments de libre. En 2022, il avait déjà exploré les concepts du low-code et du no-code, des approches facilitant le développement informatique sans une expertise approfondie en programmation.Mais cette année, il a l’impression qu’il va bientôt rentrer dans une nouvelle dimension. Il a récemment découvert qu'il suffit de formuler une problématique en langage naturel pour que l'outil génère plusieurs centaines de lignes de code d'une qualité exceptionnelle. Bien sûr tout n’est pas parfait, mais à la différence des méthodes de génération de code plus traditionnelles, l'IA générative apporte un aspect réellement interactif et une rapidité inégalée.→ Ainsi, bien qu'il existe déjà sur le web des outils capables d'accomplir ces tâches, l'IA générative se distingue par sa capacité à transformer une requête vague de type "je voudrais coder une fonctionnalité qui ressemble un peu à …" en une réalisation précise de ce que vous aviez en tête après seulement quelques itérations.👍 Et même si vous n’êtes pas développeur, cela fonctionne avec Excel. Expliquez en quelques phrases votre problématique à ChatGPT (j’ai besoin de croiser cette base de données avec tels ou tels critères…) et il vous proposera des énoncés de formules à copier/coller.Faire de la veille et poser des questions à ChatGPTAutrefois, la référence incontestée était Wikipédia, mais aujourd'hui, Julie préfère interroger directement ChatGPT. Avec un accès au web, cette IA est même capable de produire une synthèse concise sur des sujets complexes liés à son secteur d’activité ou à celui d’un client.Que ce soit pour une lecture rapide avant une réunion cruciale, pour briller lors d'un dîner chez les beaux-parents, ou simplement pour enrichir ses connaissances rapidement, ChatGPT s'avère être un allié précieux.😣Cependant, il est essentiel de rester vigilant. ChatGPT peut parfois commettre des erreurs, voire même s'égarer totalement (on dit même qu'il peut halluciner). Il est donc toujours recommandé de vérifier les sources qu'il utilise.Pour ne manquer aucune de nos actualités et vous tenir au courant de notre actualité, abonnez-vous à notre newsletter !

Le travail en 2040 : tendances organisationnelles et enjeux RH dans un monde en mutation 

Comment imaginer, comment penser le futur du travail ?Envisager l'avenir du travail suscite des questionnements majeurs face à la complexité des défis qui se présentent. Les entreprises naviguent à travers des instabilités économiques, géopolitiques, environnementales et technologiques, les incitant à rechercher une agilité accrue.Cette quête revêt une importance particulière alors que les travailleurs aspirent à donner davantage de sens à leur emploi et à trouver un équilibre amélioré entre vie professionnelle et personnelle.Évolution de la valeur travail : de l’obligation à l’inutilité ?Aujourd’hui, les machines - nos esclaves modernes et consentants - avec leur capacité de travail illimitée, d’automatisation et d’industrialisation de la production, remplacent la quasi-totalité des cols bleus et des agriculteurs.Quant à l'Intelligence Artificielle, peut-être relèguera-t-elle demain les aficionados de l’e-mail, des brainstormings et des to-do lists à rallonge que nous sommes au rang de reliques poussiéreuses et inutiles d’une époque révolue ?→ Instrument d’aliénation pour les uns, agent d’émancipation pour d’autres, le travail reste au centre de nos préoccupations et de nos interrogations. Comment la valeur travail va-t-elle évoluer ?Le passé peut sans doute nous donner quelques éléments de réponse.“Emploi du temps” et chute de l’EmpireJ’ai lu récemment que de nombreux historiens attribuent la chute de Rome à l’oisiveté dans laquelle s’était vautrée l’élite dirigeante. Menant une vie de fêtes et d’orgies, déconnectés des réalités matérielles d’une plèbe laborieuse, les grandes familles patriciennes et leur entourage auraient progressivement perdu le goût de l’effort, du travail et de l’organisation, menant l’Empire au chaos.→ Le travail productif fourni en très grande partie par des esclaves, laissa entrevoir pour la première fois de l’humanité les conséquences possibles, mais aussi les dérives d’une existence sans nécessité de travailler.→ Depuis cette époque lointaine, l’homme n’a eu de cesse que de s’interroger sur les heures qu’il consacre chaque jour à produire, à rendre service, à conseiller ou à penser, pour lui-même ou pour ce que l’on décide d’appeler à la fin du XVIIIe siècle une entreprise.→ La question persistante depuis cette époque est de savoir si le travail pourrait, pour une raison ou une autre, devenir inutile, privé de sens. Et c’est peut-être cette interrogation fondamentale - que faire de notre temps ? - que porte en elle la Gen-Z que nous avons tant de mal à recruter.***Alors, de manière plus générale et en attendant une hypothétique ère post production, à quoi ressemblera le monde du travail en 2040, et comment évoluera notre relation avec le milieu professionnel ?Voici quelques hypothèses issues d'une analyse prospective sur le futur du travail à l'horizon 2040, publiée par l'INRS français (Institut National de Recherche et de Sécurité) - un rapport détaillé de 143 pages que j'ai parcouru avec intérêt et curiosité entre deux repas de famille pendant les fêtes de Noël.***1 - Un rapport au travail qui devient de plus en plus individuelDe “demain tous freelances” à "demain chacun chez soi, enfermé dans sa petite bulle d’intimité ?”La diversification des statuts des salariés et le développement de gestion des compétences vont probablement conduire à une approche de plus en plus autocentrée de nos trajectoires professionnelles au détriment du sentiment collectif d'appartenance.Nous serons ainsi passés en quelques années à peine des grands mouvements de grèves des années 60 et 70 à une fragmentation mondialisée du travail, dont Upwork, Malt, le travail en remote et les ouvrages de développement personnel sont devenus les avatars officiels.“On est moins comme les générations d’avant. On accorde beaucoup d’importance à l’équilibre de vie, à nos choix, et on se colle moins à une seule carrière. On bouge tous les 3-4 ans et ça nous fait du bien. On veut travailler, mais se respecter aussi, vivre maintenant et pas attendre notre retraite” (une étudiante interrogée dans le cadre de l’étude)La jeune génération n’est finalement que le porte étendard d’aspirations largement partagées mais pas forcément avouées par la majorité. Citons par exemple le rejet du travail en tant que “valeur centrale” de l’existence.“On a vu nos parents se faire virer comme ça à 50 ans, sans raison apparente, alors comment voulez-vous que l’on fasse confiance aux entreprises après ça ?” (un jeune cadre)2 - Télétravail, pas de retour en arrière possibleCe que les entreprises désigneront encore pendant quelques années comme "travail hybride" deviendra simplement le "travail”. Pour de nombreux salariés dont une partie des tâches peut être accomplie à distance, le télétravail est devenu une exigence et sera bientôt la norme. Ceux qui en sont privés ressentent souvent de la frustration et cherchent des alternatives.Cela explique le désintérêt croissant pour les métiers nécessitant une présence physique constante en un lieu défini. Les emplois traditionnels tels que serveur ou livreur, autrefois populaires auprès des jeunes et des non-diplômés, deviendront probablement de plus en plus difficiles à pourvoir à salaire équivalent en raison de leur nature non virtualisable.Ainsi, le télétravail semble représenter un changement irréversible dans la façon dont nous concevons et pratiquons le travail au quotidien.3 - L’explosion des travailleurs indépendantsMalgré le manque de protection sociale induit par le statut d'indépendant, de plus en plus de salariés deviendront leurs propres patrons à mesure que les freelances s’organiseront pour équilibrer le rapport de force au sein de la “gig economy”.→ De nombreux syndicats de freelances ont d'ailleurs vu le jour ces dernières années.→ Et si l’on reproche souvent aux grandes plateformes de freelances le peu d’égard qu’elles portent à leurs “adhérents", les choses évoluent là aussi. À l’instar de Uber en Angleterre, il est sera possible de faire bénéficier d’un statut mixte - à mi-chemin entre freelance et salarié - incluant protection sociale, cotisations retraite, voire salaire minimum à certains travailleurs.Au-delà du statut, les entreprises devront être capables de gérer de manière harmonieuse la cohabitation entre des salariés traditionnels et des experts indépendants avec des niveaux d'expertise et d'engagement hétérogènes.Notons enfin une polarisation structurelle du marché du travail qui laissera apparaître d’un côté une population aisée, diplômée, formée, capable d’imposer certaines de ses attentes aux employeurs. Et de l’autre, les oubliés de la transformation digitale, dont la double peine sera de voir leurs métiers remplacés par des machines de plus en plus “intelligentes”...4 - L’IA partoutLes progrès fulgurants de l’Intelligence Artificielle et ses conséquences sur nos modes de vie et nos représentations du monde seront probablement un des principaux marqueurs des années 2040 - 2100. On estime que d’ici à 2049, l’IA aura acquis les capacités cognitives d’un être humain.Des métiers comme ceux de juristes, journalistes, rédacteurs, comptables, business developper, les emplois administratifs au sens large et certains métiers de la finance vont probablement disparaître ou exiger l’acquisition rapide de nouvelles compétences.→ Pour les entreprises, la gestion des compétences - de quoi et de qui allons-nous avoir besoin demain? - sera cruciale dans un monde où 40% des métiers vont disparaître.→ Les secteurs dans lesquels l’humain pourra encore se faire une place sont au nombre de trois :les métiers “de tête”, à forte activité cognitive : décider d’une stratégie d’investissement, recruter, etc...les métiers “de coeur” : infirmière, aide à domicile, médecin, psychologue…les métiers “de bras” : les artisans, les restaurateurs, les charpentiers, les électriciens et ceux qui savent faire pousser des tomates bio dans un monde à +3 degrés.les artistes au sens large du terme avec la question “Que considérons-nous encore comme de l’art? “→ Ce qui pose par ailleurs un problème au niveau de la formation des populations les plus jeunes. Des cerveaux habitués à être assistés par une IA seront-ils en mesure de développer des capacités cognitives pertinentes et nécessaires pour se différencier sur un marché du travail dont le rapport de force pourrait s’inverser ?5 - La dérive climatique et le risque géopolitiqueLe réchauffement planétaire, la chute de la biodiversité, la raréfaction des ressources naturelles (fossiles et minières) seront sans nul doute les éléments les plus structurants de nos modes de vie (et de travail) pour les 500 ans à venir.Les entreprises pourront avoir une approche à deux niveaux :→ Au minimum et sans que cela soit suffisant : intégrez le changement climatique et la rareté des ressources énergétiques dans vos stratégies commerciales. Il s'agit d'enjeux de résilience et d'image, également connus sous le nom de RSE aujourd'hui, mais sans artifice social ni embellissement écologique.→ Pour survivre dans un monde où la température pourrait augmenter de +2 ou +3 degrés Celsius, les entreprises visionnaires qui veulent perdurer doivent intégrer les limites planétaires dans leur stratégie Cela implique de repenser ou de renoncer aux notions actuelles de productivité et de croissance.→ Pour les responsables RH : se former aux enjeux climatiques et environnementaux et les intégrer - avec plus ou moins de facilité selon les secteurs d’activités - dans la culture de l’entreprise et les pratiques managériales.Le choix d'ignorer les limites planétaires et la contraction des flux physiques qui sous-tendent notre économie, de persister dans des modèles de productivité et de croissance non durables va entraîner, dans un premier temps, une obsolescence rapide de certains business model.À terme, la persistance dans certaines pratiques productivistes, dépendantes des activités fossiles notamment risque de conduire à une disparition inévitable de beaucoup d’organisations et à la destruction de nombreux emplois. Alors autant anticiper.On voit déjà par exemple l’étau dans lequel les grandes sociétés d’assurance sont prises : presque obligées de renoncer à leur raison d’être dans un monde où les risques climatiques deviennent vraiment significatifs. Il en est de même pour la voiture électrique : comment produire et promettre toujours plus de batteries quand le lithium et le cobalt se font déjà si rares ?L'adaptation à une réalité climatique changeante devient non seulement cruciale pour la survie des entreprises, mais aussi pour la préservation à long terme de l'équilibre planétaire.Vous souhaitez prendre une longueur d'avance sur vos concurrents et optimiser votre processus de recrutement ?Betuned vous accompagne avec :👍 My career site, un générateur de site carrière 100% personnalisé avec du contenu pensé spécifiquement pour les talents dont vous avez besoin.👍 Un ATS intelligent pour gérer vos process de recrutement👍 Des video-job : vos offres d’emploi présentées sous forme de capsules vidéo super impactantes et diffusés au sein de campagnes digitales ultra-ciblées pour trouver les candidats là où ils sont👍 Du consulting Employer Branding et de la production de contenus pour révéler l’ADN de votre société et vous différencier en tant que top-employer en Belgique et au-delà ! 🚀 🌟Contactez-nous ! 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Le stress est-il vraiment l’ennemi à combattre ? 

J'ai une amie qui est constamment stressée, que ce soit à cause de son travail, de sa vie de famille ou de la vie en général. Dans sa quête pour se sentir mieux, elle a transformé son quotidien en une lutte contre le stress et l'anxiété. Méditation, salle de sport, régime Keto, lectures de développement personnel, vidéos ASMR, podcasts relaxants... elle a tout essayé.Ironiquement, à force de penser constamment au stress, elle finit par être de plus en plus stressée !Cet article, je l’ai écrit un peu pour elle. Au fur et à mesure des années, j’ai appris à maîtriser mon stress, et à en faire - toutes proportions gardées - un allié dans la vie professionnelle et personnelle.Qu’est-ce que le stress ?Le stress est une réaction de notre corps à un élément extérieur, par exemple à une menace réelle ou perçue. Ce n’est pas la situation elle-même. Certains psychologues décrivent aussi le stress comme un moyen d’adaptation à une situation donnée. Un animal qui se sent menacé va générer un stress qui provoque une réaction salvatrice comme la fuite ou la contre-attaque par exemple→ Personne n’est donc stressé “par nature”. Quand on parle de stress, il faut toujours faire référence au contexte au sein duquel une personne évolue. Par exemple un soldat pendant la guerre…un sportif avant les Jeux Olympiques, moi avant un meeting important chez un client, etc…Et le stress au travail ?Le stress au travail est très répandu. Son origine est souvent à trouver dans un déséquilibre entre ce qu’on nous demande de faire et des ressources dont on pense disposer pour relever le défi.👍 Là encore on voit que c’est le contexte qui crée le stress et pas le salarié lui-même. Si vous suivez ma pensée, vous en concluez que le stress ne doit pas nous culpabiliser, car il est dû à une situation dans laquelle nous sommes plongés, ou une interaction sociale à laquelle nous prenons part !La surcharge de travail est le facteur numéro un de stress au travail. Mais il existe aussi d’autres sources de stress comme :le manque de reconnaissancele manque de soutienl'ambiguïté des rôlesl’absence de visibilité sur les projetsl’absence de sens dans ce que l’on faitLes personnes stressées au travail sont en général moins performantes et surtout plus malheureuses que les autres salariés.👎 Une ambiance de travail stressante peut donc être très nocive, même à court terme pour une entreprise (turnover, journées de travail perdues, démotivation généralisée…)Lutter contre le mauvais stress ?L’idée répandue selon laquelle il existe un bon et un mauvais stress est fausse. Tout simplement parce qu’il s’agit d’une réaction chimique dans notre corps et qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais cortisol, de bonne ou de mauvaise sérotonine, du moins pas encore !En revanche, de par mon expérience, je pencherais davantage en faveur d’une distinction entre trois types de stress dont l’un me paraît plus “utile” que les deux autres.😡 Le stress aigu se manifeste par les réactions physiologiques de notre corps lorsque nous sommes confrontés à une menace ou à une situation exigeante à court terme, tel que la prise de parole en public, un changement de poste ou une situation imprévue. Une fois la situation résolue, les symptômes de stress disparaissent généralement rapidement.😡😡 Le stress chronique quant à lui résulte de la réponse prolongée de notre organisme à une situation stressante qui perdure. Par exemple, dans le cadre professionnel quotidien, il peut sembler que les demandes excèdent constamment nos capacités. Le stress chronique a toujours des conséquences néfastes sur la santé à long terme.C’est le stress ressenti par mon amie, le stress s’enracine dans son quotidien, une routine s’installe et l’on trouve alors qu’il est normal d’être stressé en permanence, même si l’on dit vouloir s’en débarrasser. C’est un vrai cercle vicieux.☯️ “Mon” bon stress : lorsqu'il surgit au moment idéal et de manière modérée, le stress dynamise mes performances, booste mes capacités, me fournit une énergie supplémentaire, accélère ma productivité, et ce, grâce à un équilibre subtil, une connaissance approfondie de soi-même et une maîtrise personnelle. Et je vous assure, ça fonctionne !En écrivant cet article je suis d’ailleurs tombé sur une étude américaine datant de 2013 sur le stress en général dont les conclusions m’ont interpellée :Les chercheurs ont invité 29 000 personnes choisies au hasard à évaluer leur niveau de stress au cours de l'année précédente et à indiquer dans quelle mesure ils pensaient que cela pouvait influencer leur santé.→ Cette cohorte a été suivie pendant 8 ans, révélant que ceux se plaignant d'un stress élevé et croyant en ses effets néfastes connaissaient une augmentation de 43% du risque de décès.→ En revanche, les individus très stressés, mais minimisant son importance présentaient le taux de mortalité le plus bas.Après dix ans de recherche, l’étude conclut :“Dans tous les cas, le stress fait partie de notre vie. Plutôt que de percevoir le stress de manière négative, il est préférable de le considérer comme un moteur dynamisant. Il est crucial de savoir le gérer au quotidien, notamment par des exercices physiques, de relaxation et de respiration, afin d’apprendre à notre cerveau à le canaliser, à en tirer profit sans excès ni dépasser ses propres limites psychologiques.”Trois conseils pour essayer de canaliser son stressVoici mes trois astuces pour faire du stress un allié plutôt qu’un ennemi1. Adopter une vision positive : Modifier son attitude envers le stress crée une énergie constructive. Par exemple, plutôt que de craindre cette réunion importante, j’essaye de voir plus loin et je pense aussi à toutes les conséquences positives potentielles de cette réunion sur le long terme : signer un contrat, faire bonne impression, comprendre un besoin, faire avancer un projet…2. Garder le contrôle de la situation : Quand je commence à stresser sur une tâche complexe à accomplir, plutôt que de laisser l’angoisse m’envahir, je fais une liste de toutes les étapes intermédiaires pour y arriver. Parfois je découpe même ma journée en plusieurs tranches horaires étanches les unes des autres pour ne pas laisser le stress tout envahir.3. Écouter ses besoins : Le stress, c’est aussi l’occasion d’apprendre à mieux se connaître. Soyez attentif aux manifestations du stress et réagissez en tirant des enseignements. Questionnez-vous sur l'origine du stress, demandez-vous ce dont vous avez besoin pour le gérer. Il peut s’agir d’un environnement de travail plus calme, de plus de temps, de conseils, de plus d’informations, ou d”un bon repas avec un verre de vin !Vous souhaitez prendre une longueur d'avance (sans stress) sur vos concurrents et optimiser votre processus de recrutement ?Betuned vous accompagne avec :👍 My career site, un générateur de site carrière 100% personnalisé avec du contenu pensé spécifiquement pour les talents dont vous avez besoin.👍 Un ATS intelligent pour gérer vos process de recrutement👍 Des video-job : vos offres d’emploi présentées sous forme de capsules vidéo super impactantes et diffusés au sein de campagnes digitales ultra-ciblées pour trouver les candidats là où ils sont👍 Du consulting Employer Branding et de la production de contenus pour révéler l’ADN de votre société et vous différencier en tant que top-employer en Belgique et au-delà ! 🚀 🌟Contactez-nous ! 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Pénurie de talents : 3 erreurs à éviter en 2024 

Pénurie de talents : évitez ces 3 erreurs !Même sans boule de cristal, nous sommes à peu près certains que l’année 2024 sera marquée par une pénurie de talents. C’est une réalité que nul responsable RH ne peut nier et cela concerne presque tous les secteurs d’activité.Depuis plusieurs années déjà, les entreprises se creusent les méninges et passent à l’action pour améliorer le recrutement et fidéliser davantage les talents dont elles ont besoin. Que ce soit dans l'amélioration du processus de recrutement ou au niveau de la marque employeur, d'importants efforts ont été déployés.🙂 Chez Betuned, nous sommes chaque jour un peu plus fiers de participer à cet élan et d'aider de plus en plus d'entreprises à comprendre comment se différencier et se positionner comme employeur de choix.Cependant, malgré cette tendance de fond, certaines habitudes persistent et font obstacle au changement. Au-delà des processus, des méthodologies et des plans d’action, c’est dans l’humain qu'il faut chercher l'erreur.Dans cet article, nous explorerons trois erreurs à ne pas commettre en 2024 pour éviter les écueils de la pénurie de talents.Trop faire confiance à son intuition ou à son instinctQuel recruteur ne s’est pas un jour dit “J’ai le bon feeling avec ce candidat !”? Trop se faire confiance en recrutement est une pratique très courante et c’est un comportement bien connu des sociologues.En général, l’être humain surestime toujours son propre jugement en pensant qu’il est basé sur son expérience personnelle et qu’il est le fruit d’une pensée rationnelle. En réalité, dans l’histoire de l’humanité, nos ancêtres ont souvent dû décider rapidement - au risque de se tromper parfois - plutôt que de rester dans l’inaction. Et aujourd’hui encore l’intuition conserve une certaine valeur dans nos processus de décisions."Il y a trois millions d'années, face à un ours, seul dans la forêt avec mon gourdin, lorsque l'animal devient menaçant, je n'ai pas le loisir de réfléchir [...] Entre grimper à un arbre ou me jeter dans la rivière, peu importe, car ma vie en dépend." - Pascal Bartoli, chercheur au CNRS Poitiers👍 Or, dans un monde devenu complexe aux sources d’informations diffuses et indirectes, l'intuition qui est un processus cognitif rapide, inconscient et émotionnellement chargé est moins pertinente. Elle doit être complétée par des informations factuelles pour éviter les échecs et les discriminations.Cette sur confiance peut également conduire à ignorer les nombreux biais cognitifs qui influent sur notre jugement, tel que le biais de supériorité illusoire, où l'on surestime ses propres qualités. De même, le biais de confirmation peut nous pousser à favoriser les informations confirmant nos hypothèses tout en ignorant celles qui les contredisent.La peur de se tromperLa conséquence financière d'une mauvaise embauche est significative. Ces coûts sont amplifiés par les impacts sur l'équipe, créant une pression écrasante pour les professionnels des ressources humaines.La peur de se tromper peut alors être paralysante . Elle mène au doute, à l'inaction, voire à un sentiment de culpabilité. La crise du Covid-19, caractérisée par une vague de départs et une pénurie de candidats, a intensifié cette appréhension, voire ce sentiment d'impuissance face à ce type de défis.👍 Cependant, prendre des décisions comporte toujours un risque d'erreur. Apprivoiser la peur de se tromper commence par l'acceptation que cette émotion est intrinsèque à la nature humaine et que les erreurs sont inévitables.La bonne attitude consiste à réduire les risques d’erreur en se posant les bonnes questions pour affiner son processus de recrutement :Comment éliminer le maximum de zones d’ombres et d’angles morts dans mon processus de sélection ?Les informations sur les candidats sont-elles fiables et comment en être sûr ?Des sources objectives appuient-elles ma décision ?Ma connaissance approfondie du contexte et du poste est-elle suffisante pour recruter le bon profil ?Comment me faire aider par un collègue en cas de doute ou de recrutement urgent ?Faire comme on a toujours faitDans le milieu professionnel, dire “J’ai toujours fait comme ça” cache souvent une paresse intellectuelle où des schémas mentaux envahis par deux mauvaises conseillères que sont la force de l’habitude et la routine.Tout comme l'intuition, l'habitude est un mécanisme que notre cerveau utilise pour minimiser les efforts. Environ 40% de nos actions quotidiennes ne sont pas le résultat d'une décision consciente, mais simplement de nos habitudes.“Il arrive fréquemment que nous fonctionnions en mode automatique, que ce soit dans notre vie quotidienne ou au travail. Bien que ces réflexes automatiques soient souvent utiles, certains peuvent également être préjudiciables. Sur le lieu de travail, la crainte du changement peut surgir pour diverses raisons telles que la peur de l'inconnu, le manque de motivation, l'absence de compétences, ou encore le manque d'agilité” . Pascal Bartoli, chercheur au CNRS PoitiersPenser contre soi-même demande un effort certes mais face à ces réactions naturelles au changement, il devient essentiel de cultiver son agilité, de poser des questions pertinentes, de maîtriser le stress et la panique, et surtout d'adopter une attitude critique envers les processus établis.Par exemple, dans le domaine du recrutement, cela pourrait signifier adopter une approche itérative en testant de nouvelles méthodes de recrutement, d’ajouter ou de supprimer une étape, puis faire un bilan d’efficacité. Rester constamment à l'affût de nouvelles méthodes disruptives de talent acquisition contribuera à renforcer votre souplesse mentale et à accueillir le changement avec ouverture.Vous souhaitez prendre une longueur d'avance sur vos concurrents et optimiser votre processus de recrutement ?Betuned vous accompagne avec :👍 My career site, un générateur de site carrière 100% personnalisé avec du contenu pensé spécifiquement pour les talents dont vous avez besoin.👍 Un ATS intelligent pour gérer vos process de recrutement👍 Des video-job : vos offres d’emploi présentées sous forme de capsules vidéo super impactantes et diffusés au sein de campagnes digitales ultra-ciblées pour trouver les candidats là où ils sont👍 Du consulting Employer Branding et de la production de contenus pour révéler l’ADN de votre société et vous différencier en tant que top-employer en Belgique et au-delà ! 🚀 🌟Contactez-nous ! 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Checklist RH : anticiper ses recrutements en 3 questions fondamentales (et bonnes pratiques) 

Dans un contexte économique caractérisé par l’instabilité et l’incertitude, anticiper ou essayer d’anticiper l’avenir est une démarche essentielle pour les entreprises.Prévoir, planifier, pressentir ses besoins en ressources humaines font partie des démarches nécessaires afin d'éviter toute dérive ou approximation coûteuse.Pour éviter les imprévus et assurer le succès de vos futurs recrutements, il est impératif de se pencher sur au moins trois questions stratégiques fondamentales.1 - Quels vont être vos besoins de recrutement dans 1, 2, 3 ou 5 ans ?Personne n’a bien sûr la réponse exacte à cette question. Mais la question sous-jacente est : Quel processus mettre en place pour évaluer et recueillir les besoins de l’entreprise en termes de talents et de compétences ?Voici des pistes de réflexion pour anticiper de manière efficace vos futurs recrutements :1. Analyse stratégique : Conduisez une analyse approfondie des objectifs stratégiques à moyen et long terme de l'entreprise. Identifiez les secteurs de croissance, les nouveaux projets et les évolutions prévues. En cas d'informations manquantes, n'hésitez pas à poser des questions en interne pour obtenir toutes les données nécessaires.2. Collaboration interne : Impliquez activement les différentes parties prenantes internes, notamment les responsables opérationnels et le management. Leur contribution peut fournir des perspectives essentielles sur les compétences nécessaires à la réalisation des objectifs.3. Veille sectorielle : Restez constamment informé des tendances et des évolutions dans votre secteur d'activité. Comprenez comment ces changements pourraient influencer les besoins en talents de votre entreprise.4. Formation continue : Investissez dans la formation continue de vos équipes existantes afin de les préparer aux nouvelles compétences requises dans le futur.5. Réseautage : Établissez des relations solides avec des professionnels de votre industrie. Cette démarche peut fournir des informations précieuses sur les évolutions du marché du travail et vous aider à identifier des talents qualifiés.2 - Quels sont les talents clés de votre organisation ? Quel est votre plan d’action en cas de départ ?Dans 90% des cas, la réponse est : “Il n’y a pas de plan B…” !! En matière de gestion des talents au sein de votre organisation, il est essentiel d'adopter une approche proactive et réfléchie. La question fondamentale est : "Qui sont les talents clés de ma société, et pourquoi ?Ensuite, élaborez un plan en cas de départ. Voici 3 best practices pour vous y aider :Identification des talents clés : Identifiez les collaborateurs qui contribuent de manière significative à la réussite de votre entreprise ou ceux dont l’absence poserait un sérieux problème. Identifiez les compétences uniques et les expertises qu’ils possèdent et qui les rendent irremplaçables. Demandez-vous ensuite si d’autres collaborateurs possèdent ces compétences.Simulation de départ : Que se passerait-il si demain Virginie, notre Directrice Financière, décidait de quitter le navire ? Et si Pascal, son adjoint, décidait de la suivre ? Construisez des simulations de départ pour évaluer la réactivité de votre équipe face à des départs potentiels.Bench strength building et succession planning : Faites comme le club de foot de Manchester United pour gagner la Ligue des Champions : ayez un vestiaire aussi talentueux que l’équipe titulaire.→ Bien sûr il y a la question du budget mais, assurez-vous que votre organisation dispose d'une réserve de talents prêts à prendre des responsabilités plus importantes et de s’adapter si un “key-talent” vous quitte.→ Favorisez le développement des compétences polyvalentes, le recrutement basé sur les soft-skills et testez rapidement les équipes multidisciplinaires.3 - Comment attirer les meilleurs candidats AVANT la publication de mes offres d’emploi ?Adoptez une approche proactive du recrutement en construisant une marque employeur solide !1. Différenciez-vous en tant qu’employeur ! Mettez en avant la culture de votre entreprise, les avantages en nature, les opportunités de développement personnel et de carrière. Soyez actif sur les réseaux sociaux, partagez les témoignages de vos salariés actuels pour faire transparaître l’ADN unique de votre organisation de manière concrète.2. Optimisez votre site carrière : Investissez dans un site carrière à la fois ludique, simple, informatif et attrayant. Offrez une expérience utilisateur fluide en présentant clairement vos valeurs, missions et postes à pourvoir.3. Produisez du contenu engageant : Créez régulièrement du contenu pertinent et captivant qui réponde aux questions des candidats sur l’entreprise et le processus de recrutement. Des articles de blog, des vidéos sur le quotidien des employés, ou des podcasts sur la vie en entreprise renforcent la visibilité de votre organisation et son attractivité auprès des futurs candidats.Vous souhaitez prendre une longueur d'avance sur vos concurrents et optimiser votre processus de recrutement ?Betuned vous accompagne avec :👍 My career site, un générateur de site carrière 100% personnalisé avec du contenu pensé spécifiquement pour les talents dont vous avez besoin.👍 Un ATS intelligent pour gérer vos process de recrutement👍 Des video-job : vos offres d’emploi présentées sous forme de capsules vidéo super impactantes et diffusés au sein de campagnes digitales ultra-ciblées pour trouver les candidats là où ils sont👍 Du consulting Employer Branding et de la production de contenus pour révéler l’ADN de votre société et vous différencier en tant que top-employer en Belgique et au-delà ! 🚀 🌟On discute de nos services ? Contactez-nous ! Email : [email protected] Téléphone : (+32)474 54 89 89 Démonstration de nos services : prendre rendez-vous

5 tendances tech innovantes qui vont disrupter les RH 

Les métiers des Ressources Humaines se trouvent à l'aube d'une transformation majeure qui va bien au-delà de l'automatisation de certaines tâches et processus déjà permise par certains outils et logiciels. La technologie appliquée au RH va bien plus loin et s'aventure aujourd’hui dans des domaines jadis exclusivement réservés à l’esprit humain pour le seconder ou pour lui apporter d’autres angles d’analyse.Dans cette ère de disruption, des avancées significatives redéfinissent les contours traditionnels du travail RH, révélant une convergence inédite entre l'humain et la technologie.Explorez avec nous les tendances qui marqueront cette nouvelle ère, où la tech transcende ses limites antérieures pour remodeler profondément la façon dont nous recrutons, gérons les talents, et appréhendons les dynamiques humaines au sein des organisations.Qu’est-ce que la disruption technologique ?La disruption technologique se réfère à la transformation radicale d'une industrie ou d'un secteur par l'introduction de technologies innovantes, remettant en question les modèles établis et créant de nouvelles normes.→ Par exemple, l'avènement du téléphone portable a radicalement changé la communication personnelle et professionnelle, surpassant les téléphones fixes et nous donnant le don partiel d’ubiquité… et celui de consulter nos e-mails le dimanche après-midi pendant une balade en forêt 🙂→ De même, Netflix a disrupté l'industrie du divertissement en introduisant un modèle de streaming à la demande, éclipsant les chaînes de télévision traditionnelles et la programmation linéaire en donnant aux utilisateurs un contrôle inédit sur leur expérience de visionnage.La disruption “classique” des RH : automatisation des tâches à faible valeur ajoutéeC’est celle que nous connaissons tous, car nous l’avons vu à l'œuvre dans le passé. L’automatisation de tâches à faible valeur ajoutée à toujours été une constante de la disruption technique ou technologique. L’usine et ses chaînes de production en sont le principal exemple dans notre histoire récente.→ En 2019, BMW fut un des premiers constructeurs à inaugurer une usine automatisée à 90%, gérée par 3 800 robots tous connectés entre eux et une trentaine de salariés seulement👍 Pour un service RH, les tâches que certains outils de type ERP utilisant l’IA peuvent déjà accomplir concernent des responsabilités administratives telles que les congés, la digitalisation de la paie et des bulletins de salaire, la consolidation des informations RH, et la gestion des absences ainsi que du télétravail.👍 Certains ATS permettent aussi d’automatiser une partie du processus de recrutement comme la communication avec les candidats ou le tri de CV suivant certains critères.L'automatisation de ces tâches libère du temps pour les professionnels des RH, leur permettant de se consacrer à des initiatives plus stratégiques et innovantes.Disruption, évolution et révolution RHLa seconde forme de disruption se manifeste de manière subtile, mais avec un potentiel révolutionnaire. Elle émerge lorsque la technologie investit des domaines qui étaient autrefois réservés exclusivement aux capacités humaines, allant au-delà de la simple automatisation.Cela englobe des aspects plus complexes tels que l'évaluation des "soft skills" et la création d'équipes fonctionnelles et performantes au sein des entreprises.👍 Cette évolution marque un tournant où la technologie cherche non seulement à reproduire des tâches, mais aussi à comprendre et à perfectionner des compétences humaines complexes, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives pour une collaboration efficace et un épanouissement professionnel des salariés.1 - L’analyse prédictive pour fidéliser les talentsL'analytique prédictive révolutionne la gestion des ressources humaines en se focalisant sur la fidélisation des talents. Grâce à l'exploitation exhaustive des données, elle permet d'anticiper les départs potentiels en identifiant des signaux faibles de mécontentement.→ Des algorithmes sophistiqués analysent comportements, performances, et interactions sociales pour prévoir les risques de désengagement et proposer des solutions adaptées et personnalisées.→ Les entreprises en tirent d'énormes avantages, adoptant des mesures proactives comme des ajustements salariaux, des promotions ou des programmes de développement professionnel.👍 Cette approche préventive contribue à fidéliser les talents, mais renforce aussi la réputation de l'entreprise en tant qu'employeur attentif au bien-être de ses salariés.« Se réinventer relève de notre survie. Stagner n’est plus permis », Jonathan Bordereau, co-fondateur de Golden Bees.2 - L’IA va permettre le non-stop learningAu XXe siècle, la norme était "Quatre ans d'études, trente ans dans la même entreprise." En 2024, les entreprises naviguent dans un environnement VICA (Volatil, Incertain, Complexe, Ambigu), exigeant une adaptabilité et une agilité considérables pour assimiler et appliquer de nouvelles connaissances.L'intelligence artificielle (IA) se définit aussi comme un acteur clé dans le domaine de la formation, élargissant l'analyse des données en incorporant des informations contextuelles tirées du parcours professionnel de vos collaborateurs.👍 Les outils de e-learning peuvent intervenir de manière opportune, en identifiant les lacunes ou en anticipant les besoins de formation à partir des données de performance actuelles, du niveau de compétences et des exigences du poste, favorisant ainsi une évolution de carrière plus fluide.Un exemple concret est celui de l'enseigne Franprix, qui offre à ses employés la possibilité de gérer activement leur programme de formation grâce à l'IA. Ils accèdent à un catalogue en ligne, sélectionnent des modules de formation, et peuvent même contribuer à leur élaboration en collaboration avec l'entreprise et d'autres collègues. Cette autonomie, permise par la technologie, renforce non seulement l'engagement des salariés mais également leur satisfaction au travail.👍 Pour favoriser l'innovation, certaines entreprises pourraient introduire des "coaches virtuels" - des outils interactifs interrogeant et conseillant les salariés, offrant des recommandations personnalisées en matière de formation et de développement professionnel.Ces mentors virtuels ont l'avantage d'être disponibles à la demande, s'adaptant aux besoins individuels des employés. Par exemple, une entreprise pourrait déployer un assistant virtuel personnalisé qui, en se basant sur les performances passées d'un employé, recommande des formations spécifiques pour renforcer ses compétences.3 - Une approche plus globale des candidatsSoft skills, hard skills, pourquoi séparer les deux ? La disruption technologique permet, à l’aide de certains outils d’entrevoir une approche plus holistique et plus objective des candidats.👍 Demain des algorithmes analyseront minutieusement les données des candidats, évaluant non seulement leurs compétences techniques, mais également leurs traits comportementaux et leur adéquation culturelle. Le candidat n’est plus une liste de compétences, mais un collaborateur potentiel que l’on appréhende dans toute sa complexité et son potentiel.→ Cette approche transforme le processus de sélection en un système plus objectif et efficient, éliminant les biais humains potentiels. L'utilisation de modèles prédictifs permet aussi d’évaluer le succès potentiel d'un candidat dans un rôle spécifique, au sein d’une équipe spécifique améliorant ainsi le taux de réussite des recrutements.→ Ce type d’approche réduit également les délais de recrutement, offrant des avantages significatifs en termes de productivité.4 - Data, prise de décision et mesure du ROILa technologie se positionne comme un atout essentiel pour la gestion et l'exploitation optimale des données dans un contexte où les contraintes budgétaires se font plus pressantes y compris pour les RH.Dans ce contexte , la capacité à évaluer le retour sur investissement (ROI) des différentes initiatives en matière de ressources humaines, au-delà du fait qu’elle est maintenant possible, deviendra progressivement une nécessité absolue.→ La data offre une vision claire et en temps réel, permettant aux entreprises d'ajuster leurs stratégies en fonction des résultats concrets. Cela non seulement optimise l'allocation des ressources, mais guide également les efforts vers les initiatives les plus efficaces et centrées sur le bien-être et le développement personnel des salariés.5 - Vers plus de créativité et d’agilité pour les RHL'usage de la technologie dépasse son rôle d'automatisation ou de rationalisation des procédures ; il s'agit également de libérer et d’encourager la créativité et l'innovation au sein d’une organisation.Imaginons une entreprise qui utilise une plateforme analytique basée sur l’IA pour évaluer les performances de ses équipes. Les données recueillies mettent en évidence des dysfonctionnements au sein des équipes- projet. Les responsables RH utilisent ces informations pour proposer un changement dans la structure organisationnelle de ces équipes.En analysant de manière holistique les compétences, les niveaux d'engagement et les relations interpersonnelles, la plateforme suggère par exemple la création de petites équipes hyper-spécialisées avec un nouveau système de remontée de l'information qui pourrait améliorer l'efficacité globale.→ Les responsables des RH utilisent ces insights pour produire une recommandation étayée par des statistiques basées sur des données tangibles offre une base solide pour la prise de décision stratégique, garantissant que les changements proposés ne sont pas seulement intuitifs, mais également alignés sur des résultats mesurables et des objectifs organisationnels clairs.Vous souhaitez prendre une longueur d'avance sur vos concurrents et optimiser votre processus de recrutement ?Betuned vous accompagne avec :👍 My career site, un générateur de site carrière 100% personnalisé avec du contenu pensé spécifiquement pour les talents dont vous avez besoin.👍 Un ATS intelligent pour gérer vos process de recrutement👍 Des video-job : vos offres d’emploi présentées sous forme de capsules vidéo super impactantes et diffusés au sein de campagnes digitales ultra-ciblées pour trouver les candidats là où ils sont👍 Du consulting Employer Branding et de la production de contenus pour révéler l’ADN de votre société et vous différencier en tant que top-employer en Belgique et au-delà ! 🚀 🌟💌 Abonnez-vous à notre newsletter pour être tenu au courant de toutes nos publications et rejoindre notre communauté d’experts RH📢 Découvrez tous les services Betuned : Prenons rendez-vous !https://calendly.com/amelie-betunedVous pouvez aussi nous contacter : [email protected] ou 0474548989

Entretien annuel, 5 erreurs que vous ne devez plus commettre 

Fin d’année rime souvent avec entretien annuel d’évaluation. Ce rituel incontournable de la vie professionnelle est un moment aussi important que stressant pour les deux parties.Dans cet article, on vous explique comment réussir vos entretiens annuels en évitant certaines erreurs que beaucoup de managers commettent sans s’en rendre compte.Quels sont les enjeux de l’entretien annuel d’évaluation ?L'entretien annuel, moment crucial dans la gestion des ressources humaines, offre une opportunité unique pour les managers et les employés de réfléchir sur l'année écoulée, de discuter des performances, de fixer des objectifs futurs et de renforcer la relation professionnelle.Cependant l’entretien annuel est un exercice périlleux pour trois raisons principales :Dans de nombreuses entreprises et plus particulièrement dans les TPE/PME il n’est pas formalisé. On hésite alors sur la tournure que va prendre cette entrevue : discussion informelle, séance de coaching, négociation de salaire, présentation de doléances, ou dans le pire des cas…règlement de compte.Le moment n’est pas propice à la discussion. Souvent en fin d’année, tout le monde est fatigué, stressé et on a qu’une seule envie, c’est de ne pas rajouter un meeting de plus sur sa to-do list, qui plus est un meeting rempli d’enjeux….L’entretien annuel est un moment qui cristallise beaucoup d’enjeux : performance du salarié, messages à faire passer, perspectives de carrière, bilan de l’année écoulée, besoins et objectifs…. Ça fait beaucoup pour une seule entrevue !Erreur 1 - Attendre la fin d’année pour recadrer un collaborateur“Sylvie, je voulais revenir sur ta gestion désastreuse du dossier XYZ, tu te rappelles en mars dernier…” C’est l’erreur que l’on constate le plus dans ce genre d’exercice : attendre la fin de l’année pour évoquer une faute, un manquement ou une mauvaise conduite de la part d’un collaborateur.Souvent par manque de courage et par peur du conflit un manager va décider de ne pas aborder de manière franche le problème avec un membre de son équipe. Ce report du recadrage peut s'avérer préjudiciable à plusieurs égards.→ Tout d'abord, en retardant les feedbacks constructifs, le manager perd l'occasion d'apporter des ajustements en temps réel et de guider le collaborateur vers une amélioration continue tout au long de l'année.→ En outre, cette approche peut créer une atmosphère de tension accrue, les problèmes non résolus s'accumulent jusqu'à l'entretien annuel. Cela peut rendre la discussion plus intense et émotionnelle, compromettant ainsi la qualité du dialogue et la capacité du collaborateur à assimiler efficacement les commentaires.Tout est plus simple quand on se parle et quand la communication est encouragée au sein d’une équipe.Erreur 2 - Ne pas prendre le temps de se préparer 🤦‍♂️⏳🚫Pour que l’échange soit constructif, la préparation du manager est au moins aussi importante que celle du salarié !Bien souvent, l’entretien d’évaluation n’a lieu qu’une fois par an, c’est pourquoi il est primordial que celui-ci soit aussi riche que possible et que l’atmosphère soit propice à l’échange afin de pouvoir discuter, analyser, réfléchir et proposer ensemble des solutions.Pour cela, un seul moyen : la préparation ! Et en particulier celle du manager. Voici quelques tips pour savoir de quoi vous parlez :Ayez un fil conducteur pour tous vos entretiens ou au moins la liste des points à aborder. Par exemple : Recueil des impressions sur l’année écoulée, projets, réussites, difficultés, questions, objectifs, rémunération.Prenez des notes sur les personnes que vous managez pendant l’année pour arriver avec des faits concrets et un discours personnalisé.Consultez le document d’évaluation AVANT l’entretien pour ne pas avoir l’air de tout découvrir au moment de l’entrevue.Erreur 3 - Ne pas prendre l’entretien au sérieux 🤔💼🕰️Considérer l'entretien annuel comme une simple formalité, même avec un salarié dont la collaboration semble sans accroc, constitue une erreur stratégique. Consacrer une heure de votre temps à un entretien annuel offre l'opportunité d'en faire un moment de qualité, une occasion de mieux connaître votre collaborateur. Profitez de cette occasion pour explorer sa perception du travail, de l'entreprise, et comprendre sa vision pour l'avenir au sein de l'organisation.Un autre aspect crucial est de maintenir une concentration totale pendant cet échange. Évitez les distractions courantes telles que "Donne-moi deux minutes, c'est un coup de fil important…". Si nécessaire, réservez une salle de réunion tranquille, prenez des notes sur un carnet pour instaurer une équité d'attention et éviter de rester fixé sur l'écran de votre ordinateur.L'entretien annuel représente bien plus qu'une simple formalité administrative ; il constitue une opportunité précieuse de renforcer la compréhension mutuelle, d'approfondir la relation professionnelle et d'optimiser la collaboration pour le bénéfice tant du collaborateur que de l'entreprise. En le prenant au sérieux, vous maximisez son potentiel en tant que levier pour favoriser la croissance individuelle et collective au sein de votre équipe.Erreur 4 - Se concentrer uniquement sur le salaire 💵🚫🤝Se limiter à parler du salaire lors de l'entretien annuel est une erreur. C’est souvent ce qui se passe lorsqu’un manager n’a pas préparé son entretien et que le salarié prend le lead sur le déroulé de l’entretien.Cette focalisation sur le salaire est aussi très courante si vous managez une équipe de commerciaux qui ne plaisantent pas avec les mots primes et bonus.Bien sûr, l'argent est important, il faut en parler, mais si on se fixe uniquement là-dessus, on passe à côté de beaucoup d'autres choses importantes.Pour tirer le meilleur parti de cet entretien, il est judicieux d'inclure la discussion sur le salaire dans un échange plus large sur le travail et les perspectives. En abordant différents sujets, on s'assure que l'entretien est complet et qu'on ne rate pas l'opportunité de discuter de ce qui compte vraiment pour la croissance du collaborateur et de l'entreprise.Autre idée : prévoir un entretien différent pour discuter de la rémunération !Erreur 5 - Se concentrer uniquement sur les points négatifs 🤷‍♀️💔👥Focaliser exclusivement sur les aspects négatifs lors de l'entretien annuel représente une erreur majeure. Cela peut partir d’un bon sentiment, celui de faire progresser le salarié. Mais s'il est crucial d'aborder les domaines nécessitant amélioration, vous ne pouvez pas commencer par le négatif dans un rendez-vous aussi important.Se fixer uniquement sur les aspects négatifs peut non seulement décourager le collaborateur, mais aussi conduire à une perte de motivation et d'engagement. Il risque de se renfermer dans sa coquille pour se protéger d’autres potentielles attaques de votre part et le dialogue sera rompu.Impossible de croire que tout est négatif chez l’un de vos collaborateurs. Alors trouvez et listez quelques-unes de ses réussites afin de briser la glace en début d’entretien, remerciez pour les efforts et le travail accompli et passez à la suite.Erreur - Négliger les besoins et les défis professionnels de votre salarié 🛠️💼💻💻Il est essentiel que votre collaborateur se sente capable d'atteindre les objectifs qui lui sont assignés, que ce soit en termes de compétences, de ressources ou de conditions de travail. Prendre en compte ses besoins et difficultés professionnelles est crucial pour une gestion efficace. Interrogez-le sur ses besoins en matière de formation, ses attentes en termes de qualité de vie au travail, etc. :Quels sont ses objectifs professionnels à court et à long terme ?A-t-il des aspirations spécifiques en matière de progression de carrière ?Quels sont les défis qu'il rencontre dans ses missions actuelles ?Y a-t-il des compétences ou des formations qu'il estime nécessaires pour atteindre ses objectifs ?→ En abordant ces sujets, vous créez un environnement où votre collaborateur se sent écouté, soutenu et aligné avec les objectifs de l'équipe et de l'entreprise.Erreur : Définir des objectifs inatteignables sans consulter votre équipeÉtablir des objectifs irréalisables pour l'année à venir peut être un facteur majeur de démotivation. Des attentes trop élevées peuvent créer du stress et entraver la performance globale de l'équipe.Pour éviter cette erreur, assurez-vous de définir des objectifs SMART : Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis.Avant de fixer ces objectifs, consultez vos collaborateurs ou votre équipe pour comprendre leurs perspectives et leurs idées :Sont-ils d'accord avec les objectifs proposés ?Pensez-vous que ces objectifs sont atteignables dans le délai défini ?Ont-ils des suggestions ou des préoccupations concernant ces objectifs ?En impliquant votre équipe dans le processus de définition des objectifs, vous favorisez l'engagement et la responsabilité collective. Vous vous assurez que les objectifs sont alignés avec les capacités et les aspirations de chaque membre de l'équipe, renforçant ainsi la motivation et la réussite globale. Ignorer cette étape peut conduire à des objectifs déconnectés de la réalité, entraînant frustration et démobilisation au sein de votre équipe… et un entretien annuel qui se transforme en échec.💌 Abonnez-vous à notre newsletter pour être tenu au courant de toutes nos publications et rejoindre notre communauté d’experts RH📢 Découvrez tous les services Betuned : Prenons rendez-vous ! Vous pouvez aussi nous contacter : [email protected] ou 0474548989

Fin d’année : comment gérer une période de rush au travail ? 

Si votre to-do list de décembre est plus longue que celle que vous avez envoyée au père Noël, alors cet article a été écrit pour vous !Ah, le joli mois de décembre !! Bientôt Noël, les cadeaux sous le sapin, les bons moments à partager avec nos proches et la famille. Oui, mais entre les festivités à préparer, les vacances à planifier, la corvée des cadeaux, les soirées de Noël et une to-do list dont il faudrait se débarrasser pour terminer l’année en beauté, il est très facile de se retrouver noyé sous une montagne de travail… qui entraîne son lot de stress.Que vous soyez en train de jongler avec des dossiers urgents, des réunions qui n’en finissent plus, ou simplement une to-do list qui semble s’étirer à l’infini, voici comment maintenir la situation sous contrôle au moins jusqu’à l’année prochaine !1 - Soyez réaliste, priorisez ! 📚 😬Acceptez que tout ne soit pas parfait. Ce stress qui monte en vous, il faut l'écouter. C’est une petite voix qui dit “ Tu n’auras pas le temps de tout faire, même si tu travaillais jour et nuit jusqu’au 30 décembre”. Alors, autant se rendre à l’évidence tout de suite pour ne pas imploser en cours de route. → En période de rush, la première étape consiste à établir une liste de tâches prioritaires. Identifiez les éléments essentiels qui demandent une attention immédiate et concentrez vos efforts sur ceux-ci.→ Adoptez une approche stratégique en planifiant soigneusement votre emploi du temps. Décomposez vos projets en étapes réalisables et fixez-vous des échéances intermédiaires.→ Mettez certaines tâches en stand-by de manière volontaire, c’est un réflexe de survie !2 - Communiquez avec votre équipe et votre boss de manière transparente 📣 👍Évitez l'isolement et la tentation de tout gérer en solo. Optez pour une communication ouverte et régulière avec votre manager et vos collègues afin de coordonner vos efforts. Le mieux c’est d’élaborer ensemble un plan d'action “Spécial Noël” et de se répartir équitablement les tâches. Là encore, soyez prêts à abandonner certains projets trop ambitieux pour éviter la surcharge.4 conseils pour bien communiquer en décembre quand on est sous pression…et le reste de l’année aussi ! 👍1. Apprenez à déléguer : confiez certaines tâches à des collègues plus disponibles, tout en gardant à l'esprit la réciprocité potentielle. Le partage des responsabilités maintient l'équilibre dans l'équipe, cela fait partie du jeu !2. Synchronisation des attentes et des objectifs : assurez-vous que chaque membre de l’équipe comprend parfaitement les enjeux du ou des projets en cours ainsi que le rôle qu’il joue et quels sont ses objectifs. Une communication claire prévient les malentendus et favorise une collaboration efficace.3. Partage des ressources : Garantissez un accès équitable aux outils et documents essentiels. L'équité dans les ressources soutient la productivité collective d’une équipe.4. Donnez du feedback en continu : Fournissez des retours réguliers à vos collègues et/ou managers. Vous pourrez ainsi ajuster vos méthodes de travail et éliminer certains obstacles pour accomplir certaines tâches plus rapidement.3 - Un rush ou un marathon ? Prenez des moments de pause stratégiques 🧘 ☁️Cela peut sembler contre-intuitif, mais prendre des pauses “stratégiques” peut améliorer votre productivité. Pour ma part, je préfère envisager la fin d'année comme un marathon où je module mon rythme, m'accorde des pauses, et trouve des moments de détente, que ce soit en partageant un verre avec des amis le soir ou en faisant du sport.C'est en équilibrant les périodes d’effort et de repos que vous pourrez maintenir une performance soutenue tout au long de cette période exigeante.Voici quatre conseils pour vous ménager en période de rush :Des pauses brèves mais efficaces : qu'il s'agisse d'une courte promenade, de quelques étirements ou simplement de s'éloigner de son espace de travail pour aller faire une course en bas de la rue !L'exercice physique : vingt minutes d’activité physique suffisent pour déclencher la libération d'endorphines, procurant une sensation de bien-être.L'utilisation de techniques de relaxation : La pratique de la méditation peut contribuer à la gestion de l'anxiété et au retour à un état d'esprit apaisé en un temps record. Certains exercices de respiration ont aussi le pouvoir de vous aider à vous endormir plus rapidement.La qualité du sommeil : On évite les écrans juste avant d’aller se coucher, on leur préfère une lampe de chevet et la lecture de quelques pages d’un roman qui fait fonctionner notre imagination.4 - Faire le bilan et se poser les bonnes questions ❔😳Si vous avez l'étrange impression de vous retrouver constamment dans une course contre la montre pour terminer des tâches importantes, si tous les mois de l'année ressemblent à décembre, peut-être est-il temps de vous interroger véritablement sur certains aspects de votre travail ?Est-ce que la procrastination prend trop de place dans votre quotidien ? Votre motivation est-elle à la hauteur ? Maîtrisez-vous réellement l'art de la planification et de la priorisation des tâches ? Quelles sont les raisons de vos retards fréquents ? Faut-il en parler au reste de votre équipe ? Avez-vous des idées à partager avec votre boss ?Profitez de cette période de rush pour tirer des enseignements afin d'éviter que de telles situations ne se reproduisent fréquemment.Bon courage et joyeuses fêtes à tous !Abonnez-vous à notre newsletter pour recevoir plein d'autres conseils de carrière et consultez nos offres d’emploi !

Employer branding : les 20 questions que tous nos clients se posent (partie 4) 

"Mon supérieur m'a confié la mission de développer la marque employeur de notre entreprise, c'est l’objet de mon appel, j’ai besoin de conseils."Il y a encore quelques années, entendre une telle demande était plutôt inhabituel. Mais aujourd'hui, l'Employer Branding a tracé son chemin, passant de simple objet de curiosité jusqu'à devenir une évidence pour les recruteurs et les responsables RH.Toutes les entreprises cherchent des moyens les plus efficaces de se démarquer en tant qu'employeur et d'attirer les candidats potentiels avec des messages percutants.Et devinez quoi ? Les questions qui nous sont posées chaque jour portent souvent sur les mêmes sujets.C'est pourquoi nous avons eu une idée brillante : sélectionner les vingt questions les plus fréquemment posées par nos clients et d’y apporter les réponses sur notre blog.Voici donc le quatrième épisode de cette série d'articles consacrée aux questions les plus fréquemment posées sur la marque employeur.16 - Quels sont les facteurs externes qui vont le plus impacter ma marque employeur ?Excellente question ! La marque employeur n’est pas une entité abstraite ni le résultat d’une réflexion pure. La prise en compte du contexte et de votre culture d’entreprise est cruciale. Voici certains facteurs qui influencent - en positif ou en négatif - votre marque employeur :Une mission bien définie et communiquée à l’ensemble des salariésLa mission de votre entreprise reflète vos valeurs en tant qu'employeur. C’est un phare qui guide les actions de chacun au quotidien.Par exemple, la mission d’une entreprise dont le coeur d’activité est la produire des revêtements pour sol pourrait définir sa mission ainsi "Unis par notre passion, nous fabriquons des revêtements de sol de qualité supérieure qui transforment des lieux ordinaires en espaces extraordinaires, pour le confort et la satisfaction de nos clients."→ Une fois que vous avez défini la mission de votre entreprise, communiquez-la à l'ensemble des salariés. Vous pouvez le faire par le biais d'un intranet, d'une newsletter ou d'une réunion d'entreprise. Il est important que tous les salariés - managers inclus - comprennent la mission de l'entreprise et qu'ils s'y identifient.Les témoignages authentiques d'employésLes témoignages authentiques d'employés constituent un trésor pour votre marque employeur. Toute expérience positive partagée par vos collaborateurs est bien plus qu'une simple validation – elle façonne l'essence même de votre réputation en tant qu’employeur.→ Les employés épanouis deviennent des ambassadeurs naturels de votre entreprise, propageant une image authentique et convaincante qui transcende les simples slogans promotionnels et les sourires figés sur les homepage des sites corporate.→ Leur voix sincère renforce votre crédibilité en tant qu'employeur et attire les talents qui recherchent une véritable communauté de professionnels qui leur ressemblent.Votre présence sur les réseaux sociauxVotre présence active sur les plateformes sociales, en particulier sur LinkedIn, étend votre rayonnement et révèle la richesse culturelle et les atouts de votre entreprise.→ Exploitez ces canaux pour partager ce qui se passe concrètement dans votre entreprise et engager les futurs candidats avec du contenu de qualité.Une expérience candidat solideL’expérience candidat que vous offrez aux candidats influence la perception qu’ils ont de votre entreprise. Créez une expérience candidate fluide et transparente en vous appuyant sur le digital.→ Les logiciels de type ATS permettent de réduire le time-to-hire et de tisser un lien de confiance avec les meilleurs candidats→ Posséder un site carrière personnalisé est une priorité absolue si vous voulez prétendre attirer les candidats sur le web17 - Dois-je communiquer en interne sur la marque employeur ?Communiquer en interne sur la marque employeur revêt une importance cruciale. Votre communication interne joue un double rôle : elle assure une coordination efficace au sein de l'entreprise et renforce la perception positive de votre entreprise auprès des meilleurs talents.Une communication interne déficiente impacte négativement l'ambiance de travail, la confiance et la productivité, tandis qu'une communication transparente et cohérente crée une culture d'entreprise épanouissante avec des liens plus forts.→ En mettant en avant les initiatives et les succès liés à la marque employeur, vous cultivez un sentiment d'appartenance et de fierté, favorisant engagement et implicationUne communication interne réussie établit une passerelle entre les aspirations de vos collaborateurs et les valeurs que votre marque employeur souhaite promouvoir, créant ainsi un environnement propice à l'épanouissement personnel et professionnel (Étude Lumapps - Communication Interne et Marque Employeur)18 - Comment impliquer les salariés dans le processus d’employer branding ?L'employer branding repose sur une culture d'entreprise positive, motivant ainsi les collaborateurs à devenir les ambassadeurs de votre marque auprès des candidats potentiels et de l'ensemble de l'écosystème. Un des meilleurs moyens d’impliquer les salariés, c’est de les rendre acteurs et créateurs de “leur” marque employeur.Impliquez les salariés dans la création de contenus relatifs à l'employer branding.→ Encouragez-les à partager leurs expériences, leurs témoignages et leurs réalisations professionnelles.→ Organisez des sessions de brainstorming pour générer des idées et des concepts créatifs pour la promotion de la marque employeur.→ Certaines entreprises vont jusqu’à créer des programmes “ambassadeurs” pour former certains salariés à mieux communiquer sur les réseaux sociaux et venir appuyer les efforts entrepris par les RH.19 - Comment rendre ma marque employeur unique ?La question de rendre sa marque employeur unique revient fréquemment. Chaque entreprise possède intrinsèquement un ADN et une culture qui lui est propre. Votre objectif est de mettre en lumière ces éléments distinctifs afin d'attirer les candidats en phase avec vos valeurs et votre approche du travail.Pour définir votre identité, une phase d'introspection est nécessaire, suivie d'une confrontation avec le monde extérieur.→ Souvent, une collaboration avec des experts de l’employer branding, comme Betuned, permet de se concentrer sur l’essentiel et de dévoiler les coulisses de votre entreprise, révéler vos forces et mettre en avant ce qui vous rend unique.→ La clé réside dans la compréhension profonde de qui vous êtes en tant qu'entreprise et dans la manière dont vous communiquez cette identité. Vos valeurs, votre culture et votre façon de travailler doivent être authentiquement reflétées dans chaque aspect de votre communication, que ce soit sur les réseaux sociaux, dans vos interactions avec les candidats ou au sein de votre équipe.20 - Faut-il une marque employeur clivante, au risque de ne pas plaire à tout le monde ?D'un côté, une marque employeur clivante peut aider à attirer l'attention des candidats qui partagent les valeurs, la culture et la vision de votre entreprise de manière profonde.Cela peut contribuer à établir une connexion émotionnelle plus forte avec ces candidats et à les inciter à postuler, ce qui peut mener à des recrutements plus en phase avec l'identité de l'entreprise.→ Une marque employeur clivante peut aussi aider à se démarquer sur un marché concurrentiel, où de nombreuses entreprises rivalisent pour attirer l'attention des talents.→ Cependant, il est crucial de reconnaître les limites et les risques associés à une approche clivante. Une marque employeur clivante peut potentiellement exclure certains bons candidats, “effrayés” par une communication trop marquée.Le plus important c’est de ne pas décevoir les candidats en inventant une marque employeur factice sous prétexte de vouloir sortir du lot. Si votre entreprise n’est pas “cool” ou “hype”, sans doute a-t-elle d’autres qualités à mettre en avant.La marque employeur, et si on en parlait ?→ Guerre des talents, mutations du monde du travail, entreprises à missions … attirer, fidéliser et accompagner ses futurs collaborateurs demande une attention toute particulière.→ Découvrez comment Betuned peut vous accompagner dans la construction d’une marque employeur forte, authentique, en cohérence avec vos valeurs et votre stratégie.Nous présentons votre entreprise sous l’angle des candidats en mettant en avant votre ADN, votre culture de manière innovante grâce à nos vidéos, photos et un storytelling personnalisé.Découvrez tous les services Betuned : Prendre rendez-vous.

Employer branding : les 20 questions que tous nos clients se posent (partie 3) 

"Mon supérieur m'a confié la mission de développer la marque employeur de notre entreprise, c'est l’objet de mon appel, j’ai besoin de conseils."Il y a encore quelques années, entendre une telle demande était plutôt inhabituel. Mais aujourd'hui, l'Employer Branding a tracé son chemin, passant de simple objet de curiosité jusqu'à devenir une évidence pour les recruteurs et les responsables RH.Toutes les entreprises cherchent des moyens les plus efficaces de se démarquer en tant qu'employeur et d'attirer les candidats potentiels avec des messages percutants.Et devinez quoi ? Les questions qui nous sont posées chaque jour portent souvent sur les mêmes sujets.C'est pourquoi nous avons eu une idée brillante : sélectionner les vingt questions les plus fréquemment posées par nos clients et d’y apporter les réponses sur notre blog.Voici donc la troisième partie de cette série d'articles consacrée aux questions les plus fréquemment posées sur la marque employeur.11 - Pourquoi les réseaux sociaux sont-ils si importants pour mon employer branding ?Si vous êtes pressé, la réponse tient en une statistique : selon Glassdoor, 79% des candidats utilisent les réseaux sociaux pendant leur recherche d’emploi. Voilà, tout est dit 🙂.La jeune génération est non-stop sur les réseaux, que ce soit Instagram, Tik Tok ou Facebook. Il est tout à fait normal pour une personne qui passe plus de quatre heures par jour à communiquer, interagir, poster, partager des contenus divers et variés sur des plateformes sociales, de vouloir y trouver des informations sur son prochain employeur.👍 Quels sont les avantages du social hiring ?Aujourd'hui plus de 70% des entreprises utilisent les réseaux sociaux pour communiquer sur leur marque employeur. Le recrutement “social” présente des caractéristiques uniques qui permettent de cibler et d’approcher les candidats plus rapidement et de recruter à moindre coût : → Vous entrez en contact avec des talents qui ne sont peut-être pas activement à la recherche d'un emploi.→ Vous êtes libres de créer des messages plus engageants et plus authentiques en utilisant des formats comme la photo ou la vidéo sous toutes ses formes→ Vous fournissez aux demandeurs d'emploi un aperçu beaucoup plus authentique de la culture et des valeurs de l'entreprise en vous exprimant sur les réseaux sociaux que sur un site corporate→ Vous contribuez à la baisse des coûts associés aux dépenses média et aux jobboards (qui d’ailleurs sont clairement dépassés)12 - Faut-il être présent sur tous les réseaux sociaux ?La réponse est : cela dépend où se trouvent vos candidats cibles.→ Si vous recrutez un directeur financier expérimenté, il y a peu de chances de le trouver sur TikToK. On privilégiera sûrement LinkedIn dans ce cas de figure.→ En revanche, pour venir muscler votre équipe digitale, Instagram ou Facebook sont des plateformes idéales pour faire passer vos messages.💡 Autre conseil : ne foncez pas tête baissée sur les réseaux sociaux sans en connaître les codes et assurez-vous que votre présence sur les réseaux sociaux reflète votre marque de manière cohérente. Chaque plateforme devrait renforcer votre identité d'entreprise et transmettre vos valeurs et votre culture et pas vous faire passer pour une entreprise “dépassée”.13 - Quels types de contenus marque employeur doit-on produire en priorité ?Les contenus que vous allez produire (ou faire produire) doivent être impactants et authentiques. Sur les réseaux sociaux, “on n’a pas le temps”, on zappe, on scroll, on clique, tout va très vite trop vite ; vous devez capter l’attention en quelques secondes seulement !Privilégiez la vidéo🎥 Le contenu qui fonctionne le mieux c’est bien sûr la vidéo ! Les internautes en sont fans, ils en consomment plusieurs heures par jour depuis leur smartphone principalement, et ce format permet de véhiculer vos messages rapidement et de manière authentique.Vous pouvez utiliser la vidéo pour mettre en image :👍 Vos offres d’emploi → pour cela faites appel à Betuned, le vidéo-job, c’est notre spécialité !👍 Des témoignages de collaborateurs - Ils permettent aux candidats potentiels d'avoir un aperçu réaliste de la culture de l'entreprise, de l'expérience du travail et des opportunités de développement professionnel.Exprimez votre vision, vos valeursN’oubliez pas d’utiliser les réseaux sociaux pour communiquer sur votre mission, votre vision et vos valeurs, car les candidats sont à la recherche de ce genre d’information quand ils sont sur Facebook ou LinkedIn.👍 Articles de blog partagés, infographies ou simples publications inspirantes : expliquez comment ces valeurs se traduisent dans vos activités quotidiennes, vos prises de décision et vos interactions avec les clients. Cela permet aux candidats de comprendre votre éthique de travail et de s'identifier à votre entreprise.Actualités et réalisations de l'entrepriseC’est facile à faire et c’est très efficace ! Partagez les actualités, les événements, les projets réussis et les réalisations de votre entreprise.👍 Avec des publications courtes (photos + textes) et inspirantes, vous montrez que vous êtes une entreprise dynamique, en croissance et capable d'offrir des opportunités stimulantes. Mettez aussi en valeur les récompenses, les distinctions ou les certifications que vous avez obtenues.14 - Quels sont les outils (digitaux) dont j’ai absolument besoin pour mettre en avant ma marque employeur ?La transformation digitale de la plupart des entreprises est désormais bien engagée et les départements RH ont également entamé leur mue numérique. Les principales promesses du digital sont :⌚ vous faire gagner du temps sur certaines tâches🎯 de rendre votre stratégie de recrutement plus efficace, plus précise🥰 d’améliorer la perception qu’ont les candidats de votre société en tant qu’employeurIl y a des tonnes de widgets et de softwares disponibles pour les RH, mais les deux outils indispensables sont :👍 Un site carrière bien référencé : c’est votre vaisseau amiral sur le web, un outil central pour promouvoir votre marque employeur. Il devrait fournir des informations détaillées sur votre entreprise, votre culture, vos valeurs et les opportunités d'emploi. Assurez-vous que le site soit facile à naviguer, qu'il mette en valeur vos collaborateurs et qu'il offre un processus de candidature simple et convivial.👍 Un logiciel de recrutement : Utilisez un système de suivi des candidatures (ATS) pour gérer efficacement les candidatures reçues. Ces outils vous aident à suivre le processus de recrutement, à communiquer avec les candidats et à collaborer avec votre équipe de recrutement. Ils vous permettent de garder une vue d'ensemble et de garantir une expérience candidat positive.15 - Glassdoor, à quoi ça sert ?Les sites tels que Glassdoor, Indeed ou LinkedIn sont devenus des références pour les candidats lorsqu'ils recherchent des informations sur les entreprises. Veillez à maintenir une présence active sur ces plateformes en répondant aux avis, en fournissant des informations à jour et en encourageant vos employés satisfaits à laisser des commentaires positifs.→ Glassdoor est une plateforme qui permet aux employés actuels et anciens de partager des avis anonymes sur leur expérience de travail dans une entreprise donnée. Elle offre également aux candidats un aperçu précieux de la culture, de l'environnement de travail et des pratiques de recrutement d'une entreprise.→ En tant qu'employeur, Glassdoor vous offre une opportunité unique de gérer votre réputation d'employeur et de renforcer votre marque employeur.👍 En maintenant une présence active sur Glassdoor, vous pouvez surveiller les avis, répondre aux préoccupations et partager des informations précises et à jour sur votre entreprise. Cela vous permet de façonner activement votre réputation d'employeur et de communiquer votre culture d'entreprise et vos valeurs aux candidats potentiels.💡 Notre conseil : Encouragez vos employés satisfaits à laisser des commentaires positifs sur Glassdoor. Cela contribue à renforcer votre marque employeur et à attirer des candidats de qualité qui se sentent attirés par une entreprise où les employés sont satisfaits et épanouis !La marque employeur, et si on en parlait ?→ Guerre des talents, mutations du monde du travail, entreprises à missions … attirer, fidéliser et accompagner ses futurs collaborateurs demande une attention toute particulière.→ Découvrez comment Betuned peut vous accompagner dans la construction d’une marque employeur forte, authentique, en cohérence avec vos valeurs et votre stratégie.Nous présentons votre entreprise sous l’angle des candidats en mettant en avant votre ADN, votre culture de manière innovante grâce à nos vidéos, photos et un storytelling personnalisé.⇒ Ensemble, attirons les meilleurs talents au sein de votre entreprise !Vous souhaitez en discuter ? Contactez nous : [email protected] ou au 0474548989 ! Ou prenez rendez-vous pour un démo de nos services : Prendre rendez-vous.

Meest gelezen

“Aime + 1” : Tomber amoureux de son boss est-ce bien raisonnable ? 

Les relations amoureuses entre collègues sont généralement acceptées lorsqu'elles impliquent des personnes de même niveau hiérarchique. Mais elles peuvent poser des problèmes lorsque l'un des partenaires occupe une position supérieure dans l'entreprise.Dans la comédie romantique “La proposition“ (2009), Sandra Bullock incarne une cheffe de service hautaine et arrogante qui tyrannise son équipe, en particulier son assistant - le séduisant Ryan Reynolds, de dix ans son cadet - qu’elle considère plus comme un homme à tout faire qu’un collaborateur.Les mystères et la magie des scénarios des comédies américaines feront que ces deux personnes que tout oppose - lien hiérarchique, personnalité, ambition - tomberont finalement amoureuses l’une de l’autre. La scène finale est d’ailleurs une demande en mariage en - presque - bonne et dûe forme avec genoux à terre au milieu de l’open space, collègues émus et applaudissements. On verse une petite larme, tout est bien qui finit bien.En séchant mes larmes, je me demandais si ce genre de situation avait un semblant de réalisme. Si l'amour triomphe parfois entre collègues sur les open-spaces bruxellois, a-t-il droit de cité entre collègues de rang hiérarchique différent ?Le travail est un puissant incubateur émotionnelAutrefois sujet tabou, les relations amoureuses ont aujourd’hui leur place au travail.Bonne nouvelle si vous êtes amoureux de Sylvie du marketing ou si vous avez un faible pour Michel de la compta, il vous est en théorie beaucoup plus facile aujourd'hui qu’il y a vingt ans de leur déclarer votre flamme.Si nous mettons de côté votre timidité maladive, force est de constater que vous avez statistiquement toutes les chances d’arriver à vos fins.Tout d’abord parce que malgré le recours au télétravail, le travail reste le premier vecteur de socialisation de l’ère moderne et 30% des couples s’y forment. C’est trois fois plus que les personnes qui se rencontrent en boîte de nuit en Belgique. Comme quoi faire les cent pas aux abords de la machine à café s’avère beaucoup plus efficace qu’une nuit blanche au Fuse ou au Zodiak.Que vous le conceviez comme un lieu de souffrance et d’aliénation ou comme un facteur d’émancipation et une activité pourvoyeuse de sens, le travail est l’endroit où nous côtoyons des personnes avec qui nous partageons des valeurs, des objectifs communs, et parfois même des passions.Il est donc naturel que des liens se tissent entre collègues, et que des émotions naissent.❤️‍🔥 Conséquence ? Selon une récente étude, 46 % des salariés ont déjà eu une relation amoureuse au travail, et parmi ceux-ci, une grande majorité considère que celle-ci était sérieuse.“Le côté aseptisé de la vie de bureau, entre mails et réunions interminables, nourrit aussi le besoin de développer des relations plus proches, voire intimes, une façon de reconstruire du vivant”. Loïc Roche - docteur en psychologie et auteur de “Cupidon au travail”L’acceptation des émotions dans la sphère professionnelleLa seconde raison est que notre époque accorde une importance croissante à l'expression et à la prise en compte des émotions dans la sphère professionnelle.Ainsi, de nombreuses organisations encouragent les relations interpersonnelles positives entre collègues, y compris les relations amoureuses. En effet, une relation amoureuse épanouie peut avoir un impact positif sur la satisfaction au travail, la motivation et la performance professionnelle. QVT quand tu nous tiens !Les DRH seraient donc prêts à jeter un voile pudique sur les relations amoureuses au travail...pour peu que celles-ci dopent le moral de leurs salariés. Alain Samson - Sexe et flirt au bureauCependant, il est important de noter que cette tendance à accepter les relations amoureuses au travail est accompagnée d'une prise de conscience accrue des enjeux liés au consentement et au respect mutuel, dans le sillage du mouvement #MeToo. Ce mouvement a eu entre autres conséquences bénéfiques de définir de nouvelles règles pour la séduction et de fixer des limites à ne plus dépasser.❤️‍🔥 Les Belges, champions de la drague d’open-space : Un travailleur belge sur dix a déjà flirté ou est tombé amoureux d’un collègue ; 7 % se sont retrouvés dans le même lit au moins une fois ; et 6 % ont embrassé ou eu une relation avec quelqu’un au travail.Trop risqué de tomber amoureux de son boss !Mais la drague au bureau est sélective. Dans l’open-space, l’amour n’est pas aveugle ! Lorsque l'un des partenaires est le supérieur hiérarchique de l'autre, la situation peut devenir plus complexe. En effet, le risque d'une emprise potentielle rend ces relations potentiellement problématiques.Dans la vraie vie, tout ne fonctionne pas toujours comme dans les comédies romantiques avec Sandra Bullock ou Cameron Diaz.Selon l’étude que nous avons citée plus haut, l'acceptabilité d'une relation amoureuse et/ou des démarches de séduction s'avère plus élevée en cas de relation extra-professionnelle (88 %), ou de consentement explicite (77 %). En revanche, lorsqu'il y a un rapport hiérarchique entre les deux partenaires, l'acceptabilité se réduit de moitié.Et là encore le #MeToo a gravé la notion de consentement au travail dans le marbre du hall d’entrée de toutes les entreprises et a incité les femmes en particulier à rejeter les relations dans lesquelles elles pouvaient potentiellement se trouver sous "emprise hiérarchique".Les femmes craignent des dérivesL’étude montre aussi que l’étude montre que les risques de dérive sont fortement appréhendés, notamment : Rumeurs et jalousie (90%),Problèmes d’objectivité, d’équité ou encore d’abus (80%),Par-delà le risque perçu, 22% des femmes répondantes témoignent de dérives qu’elles ont vécues, contre 8% des hommes seulement.L'entreprise a-t-elle un rôle à jouer dans les relations amoureuses entre collègues ?Autre statistique que révèle cette étude : 91 % des salariés souhaitent une régulation des abus possibles en sanctionnant les agissements sexistes et le harcèlement sexuel.⚖️ Que dit la loi belge ? “ Un employeur ne peut pas interdire les relations amoureuses au travail [...]Si deux collègues qui font partie d’un même service ont une relation amoureuse, ils ne sont pas obligés d’en informer leur employeur.”Tout ceci reste à nuancer, car seulement 8 % des répondants trouvent souhaitable que soit établi un règlement intérieur exigeant de déclarer toute relation sexuelle avec une personne du travail.→ Cette réflexion soulève la question complexe de la place des relations amoureuses dans le monde professionnel et de la manière dont les entreprises peuvent les gérer de manière appropriée.→ Aux entreprises donc de trouver le juste milieu entre acceptation et régulation. À quand la création de “love and personal relationship managers" ? Honnêtement j’espère que nous n’en arriverons pas là !👍 Et si vous trouviez votre prochain job (ou le grand amour) avec Betuned ? → Consultez toutes nos offres d’emploi en Belgique !💌 Abonnez-vous à notre newsletter pour d’autres conseils de carrière

Va te faire f*****, 6 phrases pour arrêter d’être trop gentil (tout en restant poli) 

“Jérôme, je sais qu’on est vendredi mais j’ai vraiment besoin que tu m’aides à finir la prez…. Sylvie, je suis désolée, mais ce serait super sympa que tu te charges du reporting pour la réunion de cet après-midi parce que j’ai un rendez-vous client important qui vient de se caler, j’ai vraiment pas le temps, tu es bien gentille merci…”Vous êtes quelqu'un de gentil, mais parfois, avouez-le, cette gentillesse peut être exploitée à vos dépens par certains de vos collègues, dont certains ont de vrais dons de manipulateurs.Il est temps de trouver l'équilibre entre être agréable, bien faire son travail tout en se faisant respecter.Dans cet article, nous allons aborder des réflexes de base et des phrases à utiliser face à ceux qui usent et abusent de votre gentillesse.Le problème avec la gentillesse au bureau (et dans la vraie vie aussi)La gentillesse n’est pas un vilain défaut, c’est même plutôt une qualité dans la vie quotidienne comme au travail. Le problème c’est les idées reçues que nous avons au sujet de la gentillesse.En clair, la plupart de gens pensent qu’être gentil, dire oui le plus souvent possible ou se porter volontaire va nous rendre plus aimables par les autres. Et comme l’être humain a envie d’être aimé…Je vous en prie, oubliez pour toujours ce faux lien de cause à effet !Soyez gentil si vous en avez envie, mais pas pour plaire ou pour grimper dans l’estime de vos pairs.En réalité, dans un environnement professionnel, la gentillesse vous rend prévisible. “Demande donc à Sylvie, elle dit toujours oui…” Certains collègues auront tôt fait de profiter de votre gentillesse, certains vous traiteront avec mépris.Pire, si vous avez affaire à un pervers narcissique, il peut profiter de votre gentillesse pour vous manipuler et vous dévaloriser. Et pensez-y, au final, cela peut même impacter votre carrière si vous mettez systématiquement les besoins des autres avant les vôtres.Il est important de comprendre que dire non de temps en temps est nécessaire pour préserver votre bien-être.Comment savoir si l’on est trop gentil au travail ?En général, les personnes “trop gentilles” sont conscientes du phénomène, mais elles ont du mal à sortir du cercle vicieux. Voici cependant quelques signes qui ne trompent pas :vous faites souvent des choses que vous n’aviez pas prévu de faire ou que vous n’avez pas envie de fairevous vous en voulez d’avoir pris certaines décisionsvous êtes en colère contre vous-même sans raisonvous ne pensez jamais à vous, à votre carrière, seulement à bien faire votre travailLes sept phrases à utiliser pour arrêter d’être trop gentilNous sommes lundi matin, la journée a pourtant bien commencé. Casque audio sur les oreilles pour gagner en concentration, vous défrichez vos e-mails avant la réunion de 11h.Mais vers 10h30 tout bascule. Vous sentez comme une présence familière dans votre dos. Michel s’est approché à pas feutrés, se plante devant votre bureau. Sourire en coin, il porte ses mains à ses oreilles pour vous faire signe qu’il veut vous parler.À peine avez-vous décollé votre casque - ultime rempart contre le ronron de l’open space et tous les Michel de la Terre - qu’il vous tend une liasse de feuillets A4 et vous demande de l’aider sur ce projet urgent/important.Dans sa phrase il y aussi les mots ASAP et deadline. Pas de doute c’est encore un mauvais coup qu’il essaye de vous jouer. À vrai dire, vous n’êtes vraiment pas emballé, car Michel est un multirécidiviste. C’est la troisième fois qu’il essaye de vous refiler un projet qui n’est pas de votre ressort.1 - “Laisse-moi du temps pour y réfléchir, je reviens vers toi”Avec cette phrase, vous jouez la montre. Il y a de fortes chances pour que votre sympathique collègue comprenne le message et aille voir ailleurs. S’il insiste - “c’est urgent, j’ai besoin de toi…” - adoptez la bonne vieille technique du disque rayé : “ il faut que je cogite, que j’y pense, que je me renseigne…” enfin vous avez compris.Cette technique ne fait pas partie des plus “intello”, il s’agit ici de jouer sur sa propre naïveté et de rester campé sur ses positions pour décourager l’adversaire.2 - “Ben non, ça n’me dit rien”Une fois que vous avez prononcé cette phrase, restez sur des généralités du style “je ne sais pas, ça ne me tente pas, je ne me vois pas travailler sur ce dossier”. Bref vous avez compris : cette phrase exprime clairement votre désaccord ou votre incapacité à réaliser la demande sans être trop abrupt.L’idée c’est de rester dans le flou sans donner trop d’arguments à Michel, car il se fera un plaisir de les démonter l’un après l’autre.3 - “Je crois que j’ai déjà bien contribué à ce projet, cette fois-ci je passe mon tour”L’idée ici, c’est de ne pas attaquer Michel de manière frontale, mais de suggérer qu’il n’a pas fait sa part du job. Normalement il devrait comprendre le message. Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à énumérer la liste des vos contributions en restant très calme4 - “ Si je t’aide sur ce coup, qu’est-ce que j’ai à y gagner ? “L’objectif de cette phrase c’est de faire en sorte que Michel arrête de penser à lui-même pendant au moins 30 secondes et qu’une négociation puisse peut-être commencer. Après c'est à vous de voir si les termes du deal vous conviennent !5 - “Bon, ok, mais après, qu’est-ce que tu vas me demander, c’est quoi la suite ? Où veux-tu en venir exactement ?Nous entrons ici dans un registre un peu plus agressif. L’objectif c’est de pousser Michel dans ses retranchements et de lui demander d’abattre ses cartes, de se justifier. S’il a de mauvaises intentions, il fera machine arrière instantanément.6 - “Non, cela ne correspond pas à mes valeurs” / “ Je ne fonctionne pas comme ça”L’objectif ici c’est de se justifier en parlant de soi, de ce qui compte pour vous et de comment vous fonctionnez. Un projet pour mettre des distributeurs de soda dans les écoles primaires ? Non merci Michel.Virer Sylvie sans préavis ? Non Michel, pour moi ce n’est pas éthique, je pense que nous devrions écouter sa version des faits…Mise en garde : ces phrases sont à utiliser dans des contextes bien précis. Si le big boss a besoin d’un coup de main et que c’est une véritable urgence, peut-être devriez-vous accéder à sa demande !👍 Et si vous trouviez votre prochain job avec Betuned ? → Consultez toutes nos offres d’emploi en Belgique !💌 Abonnez-vous à notre newsletter pour d’autres conseils de carrière

8 conseils pour arrêter de se faire manipuler au travail 

Le monde professionnel est parfois cruel. Une pincée de stress par-ci, une bonne dose d’ambition par-là, et certains deviennent prêts à tout.Les sourires de façade ne font alors que masquer des comportements plus que douteux dont vous pouvez être la cible.La manipulation fait partie des nombreuses techniques utilisées par certaines âmes mal intentionnées pour parvenir à leur fin ou pour écarter un collègue qui les dérange un peu trop.Ce collègue, c’est peut-être vous !Alors, découvrez comment déjouer tous les pièges de la manipulation au travail.Pas de bourreau sans victimeLe manipulateur ne choisit pas sa cible au hasard. Il la sélectionne en fonction de sa faiblesse mentale, morale et/ou de son isolement pour instaurer une relation toxique, voire destructrice.Mettons les choses au clair, tout le monde peut être un jour ou l’autre victime de manipulation ou de harcèlement au travail, pour la simple et bonne raison que l’on rencontre tous des périodes de doute dans notre vie qui nous rendent vulnérables.Une perte d’emploi ou un autre événement de la vie peut perturber l’estime de soi. Et qui dit doute dit terrain de jeu privilégié pour le manipulateur…Le manipulateur est un profilerComme un requin qui nage au milieu d’un banc de poissons, le manipulateur cible sa victime parce qu’elle a un profil particulier. Donc si vous avez un profil à risque, en le changeant, vous serez moins pris pour cible. Dans la plupart des manipulations, vous avez une petite part de responsabilité — pas dans tous les cas — et il est de votre devoir, pour vous protéger, de changer certains de vos comportements pour que le manipulateur ne soit plus intéressé par votre profil et parte chercher une proie ailleurs.Cinq raisons pour lesquelles vous êtes (peut-être) une proie facileLa faible estime de soi : si en ce moment, vous avez une faible estime de vous-même ou que votre besoin d’être aimé est très fort, vous devenez une proie facile pour le manipulateur qui n’a qu’à vous dire : « Tu es exceptionnel, ton travail est vraiment top » pour endormir vos défenses et mieux vous faire tomber par la suite.Ne refusez jamais un compliment au travail, mais sachez faire la part des choses.Le besoin de faire confiance (parfois aveuglément) : la confiance est précieuse, elle se mérite et elle doit être donnée avec parcimonie, même sur un open-space. Surtout sur un open-space et surtout si vous êtes le dernier arrivé dans l’entreprise.La vulnérabilité dans les moments difficiles : vous êtes plus facilement manipulable quand vous êtes fatigué, votre niveau de vigilance et d’attention diminuant. Le manipulateur profitera sûrement d’une fin de trimestre un peu chargée ou d’un moment de tension dans l’équipe pour se mettre en action.Manquer d’esprit critique : avoir l’esprit critique ne signifie pas tout critiquer sans discernement, mais ne pas être crédule et avaler tout ce que l’on vous dit, ne pas accepter une « vérité » sans y réfléchir vous-même et remettre en question les raisonnements des autres.Parfois, dans le monde professionnel, on a du mal à remettre en cause ce qu’on nous dit ou ce qu’on fait. On prend beaucoup de choses pour acquises en se disant « Si les autres le font, alors… » Don’t believe everything you think!! 😝L’isolement : si vous ne faites pas l’unanimité sur un projet ou au sein de votre service, il y a plus de chances que vous soyez la proie d’un manipulateur.Quand un prédateur s’attaque à un groupe d’animaux, il cherche d’abord le plus faible, puis il l’isole. Seul, vous êtes nettement plus vulnérable, alors que le groupe vous protège dans la plupart des cas.Comment le manipulateur se manifeste-t-il ?Il y a des schémas de manipulation au travail bien établis. À vous de les reconnaître rapidement et de réagir avant qu’il ne soit trop tard.Voici x techniques de manipulation classique au travail.La menaceQuand un manipulateur sent que vous lui résistez, il peut aller jusqu’à vous faire des menaces. C’est l’un des enjeux les plus pernicieux de la manipulation.En effet, les manipulateurs sont capables de vous dire des phrases comme « Si tu fais ceci, je vais faire cela… » (ou son contraire : « Si tu ne fais pas ceci, ne pense pas que je ferai cela… »).Une spirale infernale dans laquelle ne surtout pas mettre le pied.La réécriture des faitsPour fabriquer des excuses, pour trouver des preuves de tout ce qu’ils avancent, pour inventer des faits ou pour avancer toutes sortes d’arguments (parfois farfelus ou exagérés), les manipulateurs sont les champions !Ils seraient même assez hardis pour prétendre que 2 + 2 = 3. Sans hésiter, ils affirment être des experts et sont capables de faire (et dire !) n’importe quoi pour vous convaincre qu’ils ont raison.Diviser pour mieux régnerAvant de râler sur le collègue qui aurait critiqué votre façon de travailler, assurez-vous que c’est bien vrai. La rétention d’infos, le manque de clarté, le soin qu’ils mettent à semer la zizanie : manipulateurs et manipulatrices n’ont pas intérêt à ce que les infos sur eux circulent. Ils vont donc s’employer à faire en sorte que les collègues se parlent le moins possible entre eux.Entretenir le flouLes manipulateurs n’aiment pas la clarté. Info donnée entre deux portes, le flou, les « on verra »… Un jour, ils vous demandent de faire un travail comme ceci, le lendemain, vous n’avez rien compris et ce n’est pas du tout ça qui était demandé. Il y a de quoi devenir fou.Plus les pistes sont brouillées, plus vous êtes embrouillé. Attention, danger !Tirer la couverture à soiVous avez la drôle de sensation que les lauriers ne vous reviennent jamais ? C’est normal si vous êtes en contact avec un manipulateur. Au travail ou en privé, de toute façon, tout ce qui arrive de bien sera toujours grâce aux manipulateurs. Et tout ce qui arrive de mal sera forcément votre responsabilité.Comment se prémunir contre ’un manipulateur ?SE CALMER : chaque fois qu’un comportement inadapté (une saute d’humeur par exemple) survient, notez-le et gardez votre calme. Refusez d’entrer dans le conflit et proposez de reprendre la discussion lorsque la personne s’est calmée.NOTER : listez les émotions que vous ressentez : peur, angoisse, culpabilité… Ce sont des avertissements qui témoignent d’une situation dangereuse qui ne peut plus durer.SOURIRE : gardez autant que possible votre sens de l’humour pour montrer que ce qui est dit ne vous affecte pas. Le manipulateur déteste vous voir de bonne humeur, et il redoublera d’efforts pour vous maintenir sous son emprise, rendant ses méthodes d’autant plus visibles pour vos autres collègues.PROVOQUER : pousser la personne plus loin dans ce qu’elle insinue pour clarifier les choses et la mettre devant ses responsabilités : « Donc, tu insinues que je suis volontairement arrivé en retard à ce rendez-vous ? » ou « Tu sous-entends donc que je fais mal mon travail ? »QUESTIONNER : demandez à ce que les responsabilités de chacun soient clarifiées lorsqu’un doute subsiste, et refusez d’avancer sur un dossier tant que ces responsabilités ne sont pas clairement établies. Cela vous prémunira de tout reproche injustifié.DIRE NON : développez votre assertivité et apprenez à dire non. S’affirmer pour se faire respecter.NE PAS LAISSER LE DOUTE S’INSINUER : reformulez autant que possible ce qui est dit pour ne laisser aucun doute subsister. Exigez que ce qui est dit soit également consigné par écrit (mail, Post-it, SMS…) de manière à conserver des preuves. N’hésitez pas à ajouter d’autres personnes en copie de mail.NE PAS S’ISOLER : gardez le contact avec vos collègues. Le manipulateur n’a jamais qu’une seule victime de peur qu’elle lui échappe, lui faisant perdre toute raison d’être. Avez-vous déjà été victime de manipulation au travail ? Quelles en étaient les principales manifestations ? Comment vous en êtes-vous sorti ? Avez-vous dû changer de job ?

Tous ensemble ou chacun pour soi ? Les limites de l’individualisation du travail 

Le monde du travail se transforme en permanence et l'individualisation des pratiques professionnelles s'affirme comme une tendance dominante aujourd’hui. On parle beaucoup d’individualisation de la rémunération ou encore d’expérience collaborateur, qui par définition ne peut être qu’individuelle.Mais le travail n’est-il pas le témoignage d’une œuvre commune ? Et jusqu'où peut aller l'individualisation du travail sans compromettre le collectif et la performance d’une organisation ? J'avoue que ces deux questions me trottent dans la tête depuis pas mal de temps !Ce besoin et cette quête d’autonomie à laquelle nous assistons, qui offrent aux salariés une flexibilité accrue et une reconnaissance de leurs compétences uniques, pourraient avoir des conséquences inattendues, menaçant la cohésion et l'efficacité de l'équipe.→ Est-il possible alors de construire une culture d’entreprise forte si chaque salarié ne rêve que d’une seule chose, la personnalisation de son parcours, de son poste, de son emploi du temps, de ses missions, de son salaire ?Cet article explore les limites de l'individualisation du travail, mettant en lumière les défis auxquels sont confrontées les organisations dans leur tentative de concilier les besoins individuels avec les objectifs collectifs.Individualisation des comportements sociaux : histoire d’un paradoxeL’homme est un être social au comportement parfois grégaire. Cependant, l’évolution récente des rapports sociaux a favorisé l’individualisme.Sans vous faire un cours d’histoire, on peut affirmer qu’en Occident, certains facteurs comme l’élévation du niveau de vie, le progrès technique, la médecine, ou encore l’urbanisation et la concentration urbaine ont contribué à l’émergence de modes de vie de plus en plus centrés sur l’individu.😀 Le selfie, les maisons de retraite, la voiture individuelle et les ouvrages de développement personnel en sont des exemples récents et concrets.L’accès à l’éducation, à l’information et aux opportunités professionnelles n’a fait que renforcer cette tendance. Et il est à noter que les médias et la culture populaire diffusent eux aussi des idéaux d’indépendance et de réussite individuelle, accentuant ce phénomène.Conséquences possibles de l’individualismeL'individualisme, s'il offre une certaine liberté et autonomie, n’a pas que des conséquences positives ; il peut également engendrer de la solitude et de l'isolement.Le déclin des liens sociaux traditionnels et l'essor des interactions numériques superficielles contribuent à ce sentiment de déconnexion du réel. En privilégiant par exemple les interactions numériques, les individus se rencontrent moins et les liens sociaux s'affaiblissent.L’individualisme peut même mener à une perte de sentiment d'appartenance à une communauté et une augmentation des troubles psychologiques, ou encore à une diminution des interactions sociales en face à face.Le monde professionnel : miroir de la société et nouvelles attentes des salariésLe monde du travail est un reflet de la société et évolue en fonction des changements sociétaux. L’individualisation du travail est une réponse des entreprises à ces évolutions.💡 Aujourd'hui, la flexibilité, le bien-être au travail, la culture du feedback et les carrières individualisées sont des facteurs clés pour attirer les talents. Les salariés recherchent des environnements professionnels qui répondent à leurs besoins individuels et qui leur permettent de s'épanouir tant sur le plan personnel que professionnel.Le grand écart des RH et des managersLes responsables RH et, dans une certaine mesure, les dirigeants d’entreprise sont confrontés à un dilemme de taille : concilier la nécessité d’un sentiment d’appartenance collective avec la pression croissante de répondre aux attentes d’individualisation des salariés.D’un côté, ils promeuvent une culture d’équipe forte, favorisant la collaboration et la communication. De l’autre, ils doivent répondre à la demande de conditions de travail flexibles, d’opportunités de développement personnalisées et de reconnaissance.Les effets pervers possibles de l’individualisationL’individualisation à outrance peut mener à l’éclatement du collectif et à une perte d'efficacité. Enfermés dans leur "cocon", les salariés courent le risque de perdre de vue les objectifs communs auxquels ils doivent en théorie participer.😣Isolement et perte de cohésion : L'individualisation excessive du travail peut entraîner un sentiment d'isolement chez les salariés, les privant des interactions sociales bénéfiques au sein d'une équipe. Le manque de cohésion peut compromettre la collaboration et la synergie nécessaires à la réussite collective.🥊Inégalités et tensions : Une individualisation mal gérée peut générer des inégalités perçues entre les salariés, notamment en termes de rémunération ou d'avantages. Cela peut créer des tensions au sein de l'équipe et nuire à l'ambiance de travail, affectant ainsi la productivité et la motivation.😭Perte de sens et d'engagement : Lorsque le travail devient trop individualisé, les salariés peuvent perdre le sentiment d'appartenance à un projet commun, ce qui peut entraîner une baisse de motivation et d'engagement. Ils peuvent également avoir du mal à comprendre l'impact de leur travail sur l'ensemble de l'organisation, ce qui peut altérer leur satisfaction professionnelle.🖐️ Mise en difficulté des managers : Pour les responsables RH et les managers, l'individualisation du travail peut compliquer la gestion des équipes. La prise en compte des besoins individuels de chaque salarié peut être chronophage et nécessite des compétences spécifiques en matière de gestion des ressources humaines. En outre, cela peut rendre difficile la mise en place de politiques cohérentes et équitables pour l'ensemble de l'entreprise.💡 L'individualisation, au départ motivée par des intentions nobles visant à améliorer la satisfaction des salariés en tenant compte de leurs forces et faiblesses, ainsi qu'en proposant des conditions de travail attractives et personnalisées, comporte néanmoins des risques.→ En effet, elle peut conduire à une fragmentation du collectif et à une perte de performance globale. Dans ce contexte, l'entreprise risque de se priver de la créativité et du potentiel de ses employés,“Le travail est “par essence”un lieu et une activité du collectif […]. Un collectif ne peut pas être l’addition des individus. Une organisation humaine, quelle qu’elle soit, doit s’appuyer sur un socle commun, au risque de voir les inégalités entre salariés s’accroître. À force de tordre le collectif pour s’adapter aux situations individuelles, on crée de nouvelles inégalités”Isabelle Garcia - sociologie à l'université d’Evry Paris-Saclay.Individualisation et collectif : trouver le bon équilibre ?L'individualisation du travail ne peut être considérée comme une solution unique et absolue. Elle doit être abordée avec discernement, en tenant compte à la fois de ses avantages certains, mais aussi des risques qu'elle comporte pour le collectif et la performance de l'organisation.Il est donc crucial de trouver un juste équilibre entre l'individualisation et la responsabilisation. Dans cette optique, je propose de remplacer le terme "individualisation" par "autonomie", car il véhicule une connotation plus positive et valorisante.L'entreprise doit accorder à ses employés une certaine marge de manœuvre et d'autonomie, tout en encourageant la collaboration et le travail d'équipe. C'est en établissant cet équilibre que l'entreprise peut instaurer un environnement de travail stimulant et performant, où les employés se sentent valorisés et engagés.Pour y parvenir, plusieurs pistes peuvent être explorées :Créer des espaces de travail collaboratifs.Impliquer les employés dans le processus décisionnel et la définition des objectifs de l'organisation.Organiser des événements et des activités favorisant la cohésion d'équipe.Encourager la prise de parole et la participation active des employés.Reconnaître et valoriser tant les contributions individuelles que collectives.Recruter des profils complémentaires, en mettant l'accent sur les compétences relationnelles et la compatibilité culturelle ou d'équipe.En conclusion, en adoptant des mesures concrètes visant à promouvoir l'autonomie et le sentiment d'appartenance des employés, les entreprises peuvent instaurer un environnement de travail équilibré, propice à la productivité et au bien-être collectif.💌 Abonnez-vous à notre newsletter pour être tenu au courant de toutes nos publications et rejoindre notre communauté d’experts RH📢 Découvrez tous les services Betuned : prendre rendez-vousVous pouvez aussi nous contacter : [email protected] ou 0474548989

6 défauts que vous pouvez avouer dans un entretien d’embauche 

“Citez-moi 3 qualités et 3 défauts”. C’est une des questions préférées des recruteurs, un grand classique des entretiens d’embauche, vous le savez, et pourtant à chaque fois qu’on vous la pose elle vous déstabilise.La raison en est simple : dans un entretien d'embauche, on préfère toujours se concentrer sur la mise en valeur de ses forces et de ses qualités.Mais personne n’aime parler volontairement de ses défauts ou de ses faiblesses. Pourtant, reconnaître et exprimer vos défauts, c’est montrer aux recruteurs que vous êtes honnête, capable d'autocritique et prêt à vous améliorer.Dans cet article, retrouvez six défauts que vous pouvez avouer lors d'un entretien d'embauche et de la meilleure façon de préparer vos réponses.Pourquoi vous demande-t-on de parler de vos défauts ?La fameuse phrase “ Citez-moi 3 qualités et 3 défauts” est bien plus qu’une question, c’est une méta question, un rituel presque. Le recruteur cherche moins à connaître vos défauts qu’à évaluer la façon dont vous allez y répondre.Et comme c’est une question qui revient à chaque fois, vous n’aurez à vrai dire pas d’excuse si vous semblez ne pas vous y être préparé. Un candidat pris au dépourvu risque de donner des réponses clichées ("je suis perfectionniste !") ou de mentionner un défaut rédhibitoire pour le poste sans y prêter attention.👍 Les défauts et la manière dont vous les exprimez aident à mieux comprendre la personnalité d’un candidat et le recruteur teste également votre franchise et votre capacité à prendre du recul, à vous remettre en question dans une situation de stress.Pourquoi faut-il s’entraîner à répondre à cette question ?Pour adapter sa réponse et ne pas se prendre les pieds dans le tapis tout seul ! Il est crucial d'adapter les défauts que vous allez citer en fonction du poste visé.→ Si vous postulez pour un poste de commercial et mentionnez que vous êtes timide, cela peut semer le doute dans l’esprit de votre interlocuteur par exemple.→ En revanche, pour un poste de développeur dans le secteur IT ce serait moins problématique.Il serait presque surprenant (désolée pour les clichés) que vous insistiez sur votre personnalité hyper extravertie ou votre instinct de négociateur !😉 La technique du clin d’oeilParler d'un défaut non lié au travail peut également être une manière humoristique de répondre à la question en faisant preuve d’autodérision : par exemple en mentionnant le fait que vous êtes gourmand ou que votre péché mignon c’est le bon vin, etc.→ L'objectif général est de choisir des défauts pertinents et de les présenter de manière positive en fonction du contexte professionnel si cela est possible.Voici donc à présent quelques défauts avouables et la manière de les présenterJe suis perfectionnisteAttention, c’est le vrai-faux défaut que beaucoup de candidats mentionnent et le mot “perfection” a tendance à donner de l’urticaire aux responsables RH !Si vous pensez néanmoins faire partie de ces personnes qui ont - nuance - le goût du travail (très) bien fait, alors mettez en valeur votre capacité à accorder désormais votre confiance aux autres pour déléguer ou valider un projet. En fonction du poste pour lequel vous postulez, vous pouvez également souligner que vous êtes la personne à qui confier la touche finale d’un projet pour que sa réalisation soit…parfaite !Je suis ambitieuxL'ambition est souvent considérée comme un défaut à taire à tout prix, mais en réalité, elle peut être perçue comme une qualité lors d'un entretien d'embauche si elle est bien présentée.D’ailleurs vous pourriez intelligemment faire remarquer que ce supposé défaut est à coup sûr utilisé par votre futur employeur sur son site corporate avec des phrases comme“... l’ambition de devenir le leader de….”!→ Avoir confiance en soi et viser l'excellence à long terme sont en réalité des soft skills très appréciées.→ L'ambition peut donc être présentée comme un défaut en passe de devenir une qualité mise au service de votre futur employeur, démontrant votre volonté de vous dépasser et de réaliser des performances significatives dans votre carrière professionnelle.Je suis impulsifL'impulsivité peut être un défaut, mais si vous arrivez à la présenter de manière positive, vous montrerez que vous êtes une personne dynamique, réactive et capable de prendre des décisions rapidement.→ Mettez l'accent sur le fait que vous avez appris à canaliser cette impulsivité en prenant le temps de réfléchir et d'évaluer chaque situation avant de prendre des décisions importantes.Je suis timideSi vous êtes de nature timide, cela se verra de toute façon en entretien alors, pourquoi ne pas faire preuve de transparence et avouer ce petit défaut ?Bien sûr, abstenez-vous de mentionner ce défaut si vous voulez occuper des fonctions commerciales ou un poste de direction.Soulignez ensuite comment vous avez transformé votre timidité en force.→ Vous avez acquis la maturité nécessaire pour dépasser cette timidité lorsque c'est nécessaire. N'oubliez pas de mentionner que vous vous intégrez rapidement dans une équipe, et que vous trouvez rapidement vos marques, justement parce que vous avez transformé cette timidité en une forme de respect, partagé pour vos collègues.Je suis entier, j’ai de la force de caractèreDéfaut à manier avec précaution. On se méfie toujours des “grandes gueules” dans une entreprise, ceux qui ne sont jamais d’accord, qui critiquent toujours tout.Cependant, la force de caractère est une qualité qui montre que vous ne vous laissez pas facilement décourager. Cela suggère que vous êtes capable de prendre les devants dans un projet ou une équipe.Par exemple, lors d'une négociation commerciale, vous saurez vous imposer et ne pas abandonner facilement. En entretien, associez ce trait à la notion de courage et de prise de risque, deux vertus très appréciées. Mettez en avant votre détermination et votre capacité à faire face aux défis avec résilience.Je suis émotifLà aussi, si le rouge vous monte aux joues dès les premières minutes de l’entretien, le recruteur vous croira sur parole quand vous lui direz que vous êtes émotif.L'émotivité peut être perçue comme une qualité lorsqu'elle est abordée de manière appropriée lors d'un entretien. Cela démontre que vous êtes réactif et que vous n'avez pas peur de gérer ou d’accueillir vos émotions.→ Les personnes émotives sont souvent très créatives, débordent d'idées et peuvent apporter une dynamique positive à un environnement de travail et à une équipe.→ Lors de l'entretien, il est essentiel de mettre en avant votre capacité à canaliser vos émotions de manière constructive et à les utiliser pour stimuler votre créativité et votre productivité.Comment préparer vos réponses sur les défauts en entretien d'embaucheVoici quelques conseils pour vous préparer à présenter vos défauts lors de votre prochain 'entretien d'embauche :1 - Faites une liste de vos défautsPrenez le temps de réfléchir à vos défauts et faites une liste de ceux que vous pouvez présenter de manière positive. Essayez de choisir des défauts qui sont pertinents pour le poste et qui montrent que vous avez conscience de vous-même, que vous avez réalisé un travail de réflexion.2 - Entraînez-vousEntraînez-vous à répondre à des questions sur vos défauts à l'avance. Vous pouvez le faire en vous posant des questions et en pratiquant vos réponses à haute voix. Cela vous aidera à vous sentir plus à l'aise et confiant lors de l'entretien.3 - Utilisez des exemples concretsLorsque vous parlez de vos défauts, utilisez des exemples concrets pour illustrer vos propos, des situations de la vie de tous les jours. Cela rendra vos réponses plus convaincantes et aidera les recruteurs à mieux comprendre comment vous travaillez sur vos défauts.Cet article vous a plu ? Abonnez-vous à notre newsletter pour ne rien manquer de notre actualité !